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Path: ...!weretis.net!feeder8.news.weretis.net!pasdenom.info!from-devjntp Message-ID: <zox-6gVyVp9VCsL7S3IS5tAl3lQ@jntp> JNTP-Route: news2.nemoweb.net JNTP-DataType: Article Subject: =?UTF-8?Q?Formul=C3=A9=20diff=C3=A9remment=20=3A=20existe-t-il=20une=20tr?= =?UTF-8?Q?ansformation=2E=2E=2E=20=3F?= References: <xMz3wbeAsNh9yZTVXtoM07gPtU8@jntp> Newsgroups: fr.sci.physique,fr.sci.maths JNTP-HashClient: U5EvDE68jnr9iO0TOKycmo4Qo2I JNTP-ThreadID: YGBHoOgLPgmL_a2muUL6BYn0_G8 JNTP-ReferenceUserID: 34@news2.nemoweb.net JNTP-Uri: http://news2.nemoweb.net/?DataID=zox-6gVyVp9VCsL7S3IS5tAl3lQ@jntp User-Agent: Nemo/0.999a JNTP-OriginServer: news2.nemoweb.net Date: Thu, 16 May 24 11:51:37 +0000 Organization: Nemoweb JNTP-Browser: Mozilla/5.0 (Windows NT 10.0; Win64; x64; rv:125.0) Gecko/20100101 Firefox/125.0 Injection-Info: news2.nemoweb.net; posting-host="8a0233ee6e6a709f29713e8f897284bd28371148"; logging-data="2024-05-16T11:51:37Z/8859556"; posting-account="34@news2.nemoweb.net"; mail-complaints-to="julien.arlandis@gmail.com" JNTP-ProtocolVersion: 0.21.1 JNTP-Server: PhpNemoServer/0.94.5 MIME-Version: 1.0 Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed Content-Transfer-Encoding: 8bit X-JNTP-JsonNewsGateway: 0.96 From: =?UTF-8?Q?JC=5FLavau?= <jacques.lavau@free.fr> Bytes: 5523 Lines: 74 Formulé différemment : existe-t-il une transformation qui change le récepteur infini à l'infini, en un absorbeur quasi-ponctuel à quelque distance, et qui conserve la perpendicularité des fronts d'onde avec le vecteur de Poynting ? Le 02/05/2024 à 18:24, JC_Lavau a écrit : > Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ? > > A l'époque du premier calcul de cette géométrie, je m'étais contenté > d'additionner le champ d'un dipôle émetteur dans le vide vers l'infini, et du > dipôle absorbeur recevant de l'infini. Or les graphiques résultants ne > montraient rien qui ressemblât à un mince canal. Rien ne rendait compte du > nécessaire accord de phase à l'arrivée, exigé par le principe de Fermat. Ce > mode de calcul violait aussi la directivité inhérente à chaque photon, > démontrée en 1916 par A. Einstein, et prouvée à nouveau dans chaque > dématérialisation de positron, exploitée dans chaque PET scan. > > J'avais juste posé tout cela sur le côté, pour me rabattre en urgence sur la > simplification à courbure constante : l'arc de cercle. Malgré ses imperfections > évidentes. > Par héritage, le défaut initial était le présupposé implicite des > absorbeurs en nombre illimité à l'infini, ou « malédiction des astronomes ». > Cette hypothèse clandestine et hégémonique est enseignée dans tous les manuels > de MQ, et dans tous les campus... > > Ce défaut initial est-il irrémédiable ? > > J'ai mis un temps indu à m'en apercevoir : oui, il fallait repartir de zéro. > Personne n'a encore traité la question du couple émetteur-absorbeur, ou mieux du > triplet émetteur-espace-absorbeur. > De surcroît, on n'a pas de théorie correcte du champ proche, autour de l'atome > émetteur ou de l'atome absorbeur, pour rester dans les cas historiques de la > spectrographie. > > Ordres de grandeurs relatifs des longueurs d'ondes et des diamètres des apex ? > Cas du rayonnement Mössbauer du fer 57 : λ = 86,1 pm = 86 100 fm. > Or le diamètre connu de ce noyau est de l'ordre de 10 fm. D'où un ratio de 1 > à 9 000 environ du diamètre d'apex émetteur ou absorbeur à la longueur d'onde > du photon transmis. > Or vu la définition ultra-fine en fréquence de ce photon, cela implique > quelques dix milliards à cent milliards d'oscillations de noyau entre l'état > final et l'état initial pour émettre tout un photon, ou le recevoir tout entier. > > On peut recommencer le calcul pour telle raie jaune du sodium, et comparer au > diamètre connu du sodium dans les états concernés, ou pour la raie d'absorption > sélective du monoxyde de carbone à 65,05 Terahertz : > 4,608 µm / 0,47 nm ≈ 10 000, à la précision près de ce diamètre de la > molécule CO. > On retombe bien sur le même ordre de grandeur du ratio [longueur d'onde / > diamètre d'apex]. > > De façon toute empirique, on peut tenter le modèle d'une courbure de chaque > rayon partiel proportionnelle à la somme de deux fractions rationnelles : > courbure = α . (1/r_e + 1/r_a) > où r_e et r_a sont les distances respectives à l'émetteur et à l'absorbeur. > > Et on élimine (ou on croit éliminer) les singularités en champ trop proche en > ne pénétrant jamais dans la boule ayant le diamètre de l'atome émetteur ou > absorbeur (atome ou molécule ou noyau). Il reste à vérifier que ces diamètres > de boule suffisent. > Il reste à calculer les longueurs répondant au critère de Fermat-Fresnel. > > Une autre approche, plus similaire aux calculs de faisceaux hyperboliques issus > d'un laser, serait de scruter la courbure des surfaces isophases. Leur borne > supérieure correspond à la forme grossière de l'atome ou de la molécule > terminale. -- La science diffère de tous les autres modes de transmission des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des expériences soigneuses.