Path: ...!weretis.net!feeder8.news.weretis.net!lilly.ping.de!fu-berlin.de!uni-berlin.de!individual.net!not-for-mail From: roaringriri Newsgroups: fr.soc.environnement Subject: =?UTF-8?Q?Re=3a_L=27approvisionnement_=c3=a9nerg=c3=a9tique_de_l=27?= =?UTF-8?Q?UE_baissera_de_8=25?= Date: Wed, 12 Oct 2022 07:09:17 +0200 Organization: Aucune Lines: 26 Message-ID: References: Reply-To: roaringriri@wanadoo.fr Mime-Version: 1.0 Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed Content-Transfer-Encoding: 8bit X-Trace: individual.net KpqhfoRJh71qnHL5YUdkqwtknKPU8b4YFi0GoHo3OfIYpxIVwM Cancel-Lock: sha1:Iamm8/sLDpK4xhbkjVErMagu4B8= User-Agent: Mozilla/5.0 (Macintosh; Intel Mac OS X 10.15; rv:91.0) Gecko/20100101 Thunderbird/91.13.1 Content-Language: fr In-Reply-To: Bytes: 2564 Le 11/10/2022 à 21:01, PaulAubrin a écrit : > Le 11/10/2022 à 15:06, Cardinal de Hère a écrit : >> >> Il est vrai que l'intensité énergétique augmente très vite dans les >> secteurs totalement nouveaux comme l'informatique ou l'on produit avec >> la même énergie des ordinateurs 100 fois voire 1000 plus rapides, >> puissants, dotés en mémoire qu'en 1995. Par contre les secteurs >> traditionnels comme les moteurs électriques, le stockage de >> l'électricité, le bâtiment ne connaissent qu'un accroissement très >> faible de l'efficacité énergétique. > En agriculture, avec la progression du bio, l'intensité énergétique > régresse. > Le Bio ne peut pas exister sans le semi toxique, qui est son alibi. Et c'est une affirmation parfaitement réversible,le semi toxique, production principale de l'industrie agro alimentaire, ne pourrait pas survivre à la compression des marges bénéficiaires, sans le renfort du "Bio", qui lui apporte la rentabilité. Le Bio industriel est devenu indispensable à l'industriel, le premierv opérateur du Bio, c'est aujourd'hui Carrefour, premier vendeur du semi toxique. C'est un phénomène très semblable au "luxe". Le "luxe" automobile, par exemple, propose quelques objets a peu près satisfaisants, qui vendus très chers, compensent la faible rentabilité du gros de la production, d'une qualité déplorable ou plus que médiocre.