Path: ...!npeer.as286.net!npeer-ng0.as286.net!peer01.ams1!peer.ams1.xlned.com!news.xlned.com!peer01.ams4!peer.am4.highwinds-media.com!news.highwinds-media.com!fx16.ams4.POSTED!not-for-mail MIME-Version: 1.0 User-Agent: Mozilla Thunderbird Subject: =?UTF-8?Q?Re=3A_=5Bclimat=5D_nouvelle_=C3=A9tude_des_variations_de_?= =?UTF-8?Q?temp=C3=A9rature_de_surface?= Newsgroups: fr.soc.environnement References: <2%1tN.985115$aBh3.826389@fx05.ams4> <8fd494ef-ff96-47f3-b370-e958b8dc1d2cn@googlegroups.com> Content-Language: fr From: Paul Aubrin In-Reply-To: <8fd494ef-ff96-47f3-b370-e958b8dc1d2cn@googlegroups.com> Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed Content-Transfer-Encoding: 8bit Lines: 23 Message-ID: X-Complaints-To: abuse@eweka.nl NNTP-Posting-Date: Sat, 27 Jan 2024 09:47:18 UTC Organization: Eweka Internet Services Bytes: 2285 Date: Sat, 27 Jan 2024 10:47:18 +0100 X-Received-Bytes: 2158 X-Original-Bytes: 2016 Le 27/01/2024 à 08:56, Se_jam a écrit : > out le monde suit : > "Le flux solaire absorbé est découplé du flux de chaleur latente induit par la vitesse du vent." > > Avec une argumentation de ce type, on ne peut que se faire de très nombreux ennemis ! > > Sejam Il est certain qu'aucun point de la surface de la terre n'est à aucun moment en équilibre et encore moins en équilibre radiatif (puisque les échanges thermiques par évaporation et convection dominent). La théorie des "gaz à effet de serre" qui reposent sur l'idée que le sol est à l'équilibre radiatif, et pire, que l'atmosphère se comporterait plus ou moins comme une approximation de corps noir, est donc fondée sur des hypothèses plus que discutables. Pour autant, certaines affirmations de l'étude que j'ai citée ne me semblent pas non plus très bien étayées. En revanche comme le concept de sensibilité climatique repose sur la comparaison de deux situations d'équilibre, l'un supposé réel en surface, et l'autre hypothétique (ce que l'on mesurerait si la concentration en CO2 était le double) apparaît comme encore plus foireux que s'il y avait un équilibre perturbé (plus ou moins localement) par le CO2.