Path: ...!news.mixmin.net!eternal-september.org!feeder3.eternal-september.org!news.eternal-september.org!.POSTED!not-for-mail From: Python <python@invalid.org> Newsgroups: fr.sci.physique Subject: Re: Quand le Python critiquer l'abruti Hachel Date: Mon, 26 Aug 2024 16:10:16 +0200 Organization: CCCP Lines: 176 Message-ID: <vai2c8$2cn6c$13@dont-email.me> References: <7onLIy3ybw-R5ob6HgZ8YMst3LY@jntp> <7cfGUVs3I_srY2ozirSMmP-NOEM@jntp> <va789l$blq6$15@dont-email.me> <d0RrffM8HuN3ZJ4WUQ5rpRVuqAU@jntp> <va7cp6$blq6$22@dont-email.me> <va7gnr$blq6$25@dont-email.me> <z_xVjhRZgmCHFIgwfNGUbOZ04Z4@jntp> <vaa375$sicr$6@dont-email.me> <InBcOME0Li0nvvBo1gASM3d9Cr8@jntp> <vaf025$1q24g$16@dont-email.me> <LKByosKU0FYSjZktQN0sxbS6LFw@jntp> MIME-Version: 1.0 Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed Content-Transfer-Encoding: 8bit Injection-Date: Mon, 26 Aug 2024 16:10:16 +0200 (CEST) Injection-Info: dont-email.me; posting-host="0d015ddf5edf45433ff63c3a941727f6"; logging-data="2514124"; mail-complaints-to="abuse@eternal-september.org"; posting-account="U2FsdGVkX19vP5H209YXdji1ZuYiUObR" User-Agent: Mozilla Thunderbird Cancel-Lock: sha1:WHb5WOI55gDSiKF049rjwNfYaYw= In-Reply-To: <LKByosKU0FYSjZktQN0sxbS6LFw@jntp> Content-Language: en-US Bytes: 8345 Le 25/08/2024 à 13:56, Richard "Hachel" Lengrand a écrit : > Le 25/08/2024 à 12:12, Python a écrit : > >> Mais il ne s'agit pas de ça du tout à ce stade : même dans le >> référentiel où les horloges A et B sont au repos il n'y a pas >> encore de définition de la coordonnées de temps, c'est justement >> le BUT de la procédure de synchronisation que d'établir le sens >> de cette coordonée. > > Tu ne comprends toujours pas ce que je dis. > > Je veux bien qu'on se donne une méthode pour synchroniser les montres. > > Mais dans un univers anisochrone, il n'y aura qu'une synchronisation de > type M qui va être à la fois utile et cohérente. C'est une > synchronisation abstraite qui est d'ailleurs, celle d'Einstein. Il n'y aucun point M, type M ou quoi ce soit du genre dans la procédure d'Einstein. > Cette synchronisation est une synchronisation imaginaire, mais utile. > Elle n'existe d'ailleurs pas dans la nature. > > Ne serait-ce que deux montres A et B, tu ne pourra jamais les accorder > ensemble DANS la nature, > alors je te parle pas pour une infinité de montres. > Il faut donc une montre imaginaire, placée à égale distance de tous les > autres montres, > et c'est sur sa perception propre de l'INSTANT PRESENT universel, que > nous allons obtenir une synchronisation utile. > Mais on tourne en rond, parce que tu VEUX que ça tourne en rond. >> Tout ce que l'on a est ce que mesure l'horloge A lors de l'événement >> e1 = "émission d'un signal vers B" et e3 = "réception du signal >> renvoyé par B" à savoir t_A et t'_A (et idem pour t_B avec l'horloge >> B). > > Oui, si tu procèdes comme ça, tu sais qu'il y a eu e1,e2,e3, et qu'il y > a eu tA(e1)=0, > et tA(e3)=2. > Valeurs admise par l'univers entier. > Cela donne tA(e3)-tA(e1)=2AB/c de façon manifeste. > > Mais sans expérimentation ajoutée, tu ne peux pas en savoir plus. > > En particulier, parce que tu ne sais pas depuis quand on a déclenché B > (elle marque peut-être 45:05'25") > quand elle reçoit le bip de A, et elle n'en sait pas plus sur l'heure > qu'il était en A lorsque le bip a eu lieu. > > En résumé, en utilisant A et B, tu ne sais avec la plus parfaite > certitude que trois choses: > > tA(e1)=0, > tA(e3)=2. tA(e3)-tA(e1)=2AB/c > > Tu ne sais rien de B, et de A, tu ne sais même pas tA(e2) On en a pas besoin. On connaît t_B et on peut en déduire comment décaller A (ou B) pour qu'elles soient *ensuite* synchronisées. J'ai précisé ces points : https://gitlab.com/python_431/cranks-and-physics/-/blob/main/Hachel/dissonance_lengrand.pdf > C'est par décision autoritaire, mais fausse (ils n'ont toujours pas > compris la RR) que certain se croient malin en imposant tA(e2)=1. Ce n'est "autoritaire" qu'en tant que c'est une convention. Tout ce qu'on demande à une convention c'est d'être cohérente. > C'est faux. Parce que tu le dis ? C'est un peu court comme argument. > Ils vont ensuite aller très vite et s'enfoncer dans l'erreur en posant > qu'il est évident que tA(e1)=tB(e1) et que tA(e2)=tB(e2) : la notion de > présent plat, de simultanéité globale. Ce n'est pas "posé comme évident". On peut *prouver* que la méthode est cohérente. > C'est pas comme ça que ça marche. Parce que tu le dis ? C'est un peu court comme argument. >> Que ce sont ces valeurs que A affichait lors de e1 et e2 est un FAIT >> pour tout les observateurs qu'ils soient immobiles ou non dans ce >> référentiel, voire même accélérés. Andersen et Mikko se tuent à >> t'expliquer un truc aussi trivial depuis des semaines sur s.p.r. > > Je viens de te dire (ouvre un peu tes oreilles) que la valeur que A > affiche est un FAIT pour tous les observateurs de l'univers. On peut > même écrire que pour TOUS tA(e1)=0. Tu as juste mis des années à le comprendre, et je ne suis pas sûr que tu n'auras pas oublié demain que tu l'as compris... > Mais c'est pas de ça que je parle, je parle de leur heure à eux, SUR > LEUR MONTRE quand se produit e1. Ça en s'en tape lorsque l'on met en place une convention de synchronisation, ça n'a pas de sens tant qu'une telle procédure n'est pas en place. La simple expression "quand un événement donné se produit à un autre endroit que moi" n'est pas de sens sans convention de synchronisation. > Ta connerie, c'est de fusiller Hachel avant de l'avoir seulement compris. On comprend très bien à la première lecture ce que raconte et en quoi c'est du non sens et aussi on comprend très bien ce que que TU ne comprends PAS. > [snip gna gna gna] > > Tu ne PEUX pas, BORDEL, synchroniser deux montres ENTRE ELLES. Il te > faut obligatoirement un troisième participant M, isométrique, qui va > donner le bip, qui saura que les bips ont été reçu simultanément (dans > son présent à lui), et qui recevra les deux réponses simultanément. La preuve que non : convention d'Einstein, méthode d'Einstein-Poincaré. > On aura alors A et B synchronisés, parfaitement synchronisés, MAIS SUR M. Auncun point M n'intervient ici. > Tout sera alors très simple et très pratique, les événement seront > calculés par rapport au temps présent de M, et cela va donner une > cohérence à l'ensemble anisochrone. >> Il s'agira bien de t_A et t'_A dans le cas où c'est B qui aura >> été synchronisé sur A (et d'autres valeurs, décalées, si c'est >> l'inverse). > > Quelle est l'heure de B quand il reçoit e2? > Comment la décides-tu? Comment synchronises-tu A et B sur quelque chose > de cohérent? Déjà expliqué, moulte fois. > C'est d'ailleurs ce que fait la synchronisation Einstein (de type M chez > Hachel). >> Mon appli qui visualise tout ça avance bien, je posterai le lien >> ici quand elle sera terminée. > > Le problème, c'est qu'Einstein suppose à tort (le piège est terrible) > qu'un faisceau lumineux, ou une information se déplace à c dans les deux. > Ca parait tellement évident que le contradicteur ne peux être que fou. Il ne suppose pas, il suppose seulement l'invariance de la durée d'aller retour (à distance constante) PUIS pose une CONVENTION qui fait en sorte que l'aller et le retour se produise à la même vitesse. Si c'est la lumière qui t'embête, tu peux la remplacer par un canon à petits poids, ça marche tout aussi bien (ajuste la valeur de c quand même :-) ) > Cette fausse croyance pourrit complètement la RR depuis cent vingt ans, > et la rend complètement fausse dès qu'on s'éloigne des observations > transversales. > Dans nos exemples, où se trouve le point M nécessaire à un certain type > de synchronisation cohérente? Null part. > Loin, et sur une normale 4D à l'hyperplan. Ça n'a aucun sens. > [snip bla bla bla] > C'est comme ça et pas autrement. Parce que tu le dis ? C'est un peu court comme argument. ========== REMAINDER OF ARTICLE TRUNCATED ==========