Path: ...!news.roellig-ltd.de!open-news-network.org!weretis.net!feeder8.news.weretis.net!pasdenom.info!from-devjntp Message-ID: <51xSNVJoWTZVlPpX51VOpv4oEVY@jntp> JNTP-Route: nemoweb.net JNTP-DataType: Article Subject: =?UTF-8?Q?Proc=C3=A8s=20des=20voyous=20mafieux=20du=20RN=20=3A=20la=20lis?= =?UTF-8?Q?te=20des=20noms=20des=20pr=C3=A9venus=2E=20?= Newsgroups: fr.soc.politique JNTP-HashClient: bYVWaITr4r2S4VL6M5Q4PuHzhH8 JNTP-ThreadID: m6F3ot0Yui4byJyIOSnwRWVi9z4 JNTP-Uri: https://www.nemoweb.net/?DataID=51xSNVJoWTZVlPpX51VOpv4oEVY@jntp User-Agent: Nemo/1.0 JNTP-OriginServer: nemoweb.net Date: Mon, 30 Sep 24 10:05:17 +0000 Organization: Nemoweb JNTP-Browser: Mozilla/5.0 (Windows NT 10.0; Win64; x64) AppleWebKit/537.36 (KHTML, like Gecko) Chrome/109.0.0.0 Safari/537.36 Injection-Info: nemoweb.net; posting-host="6db5f31dfdea25a5a4943af9e1d2f6b61f39010a"; logging-data="2024-09-30T10:05:17Z/9042388"; posting-account="235@nemoweb.net"; mail-complaints-to="julien.arlandis@gmail.com" JNTP-ProtocolVersion: 0.21.1 JNTP-Server: PhpNemoServer/0.94.5 MIME-Version: 1.0 Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed Content-Transfer-Encoding: 8bit X-JNTP-JsonNewsGateway: 0.96 From: Canta Galet Bytes: 9050 Lines: 167 C'est vraiment insupportable ! En lisant la liste des prévenus, que constate-t-on ? Aucun arabe, aucun noir. Pas même le moindre petit asiatique ou métis sud américain ! Pas le moindre petit Mohamed, Rachid ou Mamadou ! Rien. Que du bon français de souche, des : Pascal, Nicolas, Jean François, louis, Catherine, Julien, etc... Et les pour les noms n'en parlons pas, des : Legier, Saint Just, Griset, Bay, Moreau, Le Pen bien sûr... etc. Le seul nom à consonnace étrangère est celui d'un... belge bien blanc !!! Escroc lui aussi, bien évidemment. Comment voulez-vous faire la promotion du patriotisme de camelote et du socialo nationalisme avec un costume payé par Poutine, dans des conditions pareilles ? Le tribunal judiciaire de Paris jugera un « système » à partir du lundi 30 septembre, celui que le Front national (FN, devenu Rassemblement national, RN, en 2018) est accusé d’avoir organisé pour se financer sur des fonds européens, entre 2004 et 2016, à travers l’embauche d’assistants parlementaires travaillant de fait pour le parti. Tour d’horizon des prévenus, poursuivis aux côtés de Marine Le Pen et de son parti. Les historiques - Louis Aliot. Député européen au moment des faits, l’ancien directeur de cabinet de Jean-Marie Le Pen a entre-temps été élu maire en 2020 de Perpignan, la plus grande ville dirigée par l’extrême droite en France. Premier vice-président du RN, il a été battu en 2022 par Jordan Bardella dans la course à la tête du parti. Il lui est reproché l’emploi d’un assistant parlementaire fictif durant quatre mois. - Thierry Légier. Garde du corps personnel de chaque dirigeant du FN, puis du RN, depuis le début des années 1990, cet ancien parachutiste est soupçonné d’avoir été injustement rémunéré comme collaborateur de plusieurs eurodéputés. - Wallerand de Saint-Just. Figure du FN, il en a été le trésorier quand le parti est soupçonné d’avoir créé un « système » visant à se financer sur des fonds européens. Conseiller régional d’Ile-de-France, il a été condamné dans l’« affaire des kits de campagne ». Les petites mains devenues cadres - Julien Odoul. Comptant parmi les assistants parlementaires présumés fictifs, le trentenaire milite désormais en première ligne au RN, porte-parole du parti et député de l’Yonne depuis 2022. Jordan Bardella l’a nommé en septembre codirecteur de campagne des prochaines élections législatives, en cas de nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale. - Catherine Griset. Proche amie depuis plusieurs décennies de Marine Le Pen, dont elle a été la cheffe de cabinet, elle est élue au Parlement européen depuis 2019. - Timothée Houssin. Ancien collaborateur présumé fictif de Nicolas Bay, le conseiller régional de Normandie et aussi député RN de l’Eure depuis 2022. Le dissident - Nicolas Bay. Parti en très mauvais termes du RN en pleine campagne présidentielle 2022, le chef de file de la ligne conservatrice du FN avait rejoint Eric Zemmour. Réélu en juin député européen sur la liste de Reconquête !, il a opéré un rapprochement avec le RN dans le sillage de Marion Maréchal, mais reste indésirable pour Marine Le Pen. Au moment des faits, il dirigeait la délégation du RN au Parlement européen. Les anciens élus - Jean-Marie Le Pen. L’ancien président et cofondateur du Front national, âgé de 96 ans, ne sera pas présent à l’audience pour raisons de santé. - Marie-Christine Arnautu. Proche de Jean-Marie Le Pen et ex-cheffe de file du Front national en Ile-de-France, cette ancienne députée européenne (2014-2019) a pris ses distances avec le parti en même temps que Jean-Marie Le Pen. Elle employait, par la voie du Parlement européen, l’assistant du président, Gérald Gérin. - Bruno Gollnisch. L’ancien numéro deux du parti, longtemps conseiller régional en Rhône-Alpes, a été député européen entre 1989 et 2019. En dépit de propos répétés flirtant avec le révisionnisme, il n’a jamais quitté le conseil national du Front national, devenu RN. - Jean-François Jalkh. Compagnon de route politique de Jean-Marie Le Pen, il a été député (FN) à l’Assemblée nationale entre 1986 et 1988, puis est entré au Parlement européen en 2014, où il est resté jusqu’aux élections du 9 juin. Le tribunal a jugé que son état de santé, « très dégradé », ne lui permettait pas d’assister au procès. - Dominique Bilde. Eurodéputée pendant dix ans, de 2014 à 2024, l’ancienne conseillère régionale du Grand Est (2016-2021) n’a plus de mandat depuis le mois de juin. - Mylène Troszczynski. Eurodéputée de 2014 et 2019, cette ancienne conseillère régionale des Hauts-de-France (2016-2021) n’a plus de mandat. - Fernand Le Rachinel. Ancien industriel, il a siégé à Strasbourg pendant dix ans, entre 1994 1999, puis entre 2004 et 2009. Un temps conseiller régional du Front national en Basse-Normandie, il a quitté le parti lepéniste en 2008 pour rallier le groupuscule radical Parti de la France, créé par un autre dissident, Carl Lang. - Marie-Christine Boutonnet. Ancienne cadre administrative, elle a siégé au Parlement européen de 2014 à 2019. Les anciens collaborateurs - Micheline Bruna. Rémunérée comme assistante au Parlement européen, au service notamment de Marine Le Pen et de Bruno Gollnisch, elle occupait au même moment la fonction de secrétaire particulière de Jean-Marie Le Pen. - Mickaël Ehrminger. Ancien chargé de mission auprès du numéro deux du parti, à l’époque, Florian Philippot. - Gérald Gérin. Ancien conseiller régional en Provence-Alpes-Côte d’Azur et assistant personnel de Jean-Marie Le Pen. - Charles-Henri Hourcade. Rémunéré comme collaborateur de Louis Aliot, il était aussi graphiste au sein du pôle communication du Front national. - Guillaume L’Huillier. Rémunéré comme collaborateur de Bruno Gollnish et de Marine Le Pen, il dirigeait au même moment le cabinet de Jean-Marie Le Pen. - Loup Viallet. Rémunéré par l’eurodéputée Dominique Bilde, il occupait les fonctions de délégué national du FN chargé de la prospective. - Yann Le Pen. La sœur de Marine Le Pen est soupçonnée d’avoir été injustement rémunérée comme collaboratrice de Bruno Gollnish. - Jeanne Pavard. Rémunérée comme assistante parlementaire de Jean-François Jalkh. Les logisticiens - Nicolas Crochet. Proche de Marine Le Pen, il a longtemps occupé la double fonction d’expert-comptable et de commissaire aux comptes pour la galaxie du Front national. En tant que tiers payant du parti au Parlement européen, il a établi les contrats de travail de collaborateurs et organisé le paiement de leurs salaires. Une fonction qu’il continue d’exercer auprès de plusieurs eurodéputés RN. - Christophe Moreau. Comptable, il a géré une société choisie par plusieurs eurodéputés comme tiers payant, entre 2004 et 2011. - Charles Van Houtte. Comptable fiscaliste belge, ancien assistant parlementaire européen accrédité de Marine Le Pen et ex-administrateur au Parlement européen auprès d’Europe des nations et des libertés, le groupe politique créé en juin 2015 par le FN et ses alliés, il a supervisé pendant plusieurs années pour le Front national des « tableaux de dépenses » au cœur du « système » mis au jour par l’instruction judiciaire.