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From: Canta Galet <Pancho42@free.fr>
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Lines: 66


Il serait grand temps !
Si l'occident avait des couilles l'Ukraine aurait été immédiatement 
intégrée dans l'OTAN au premier jours de l'invasion par les naZiruSSes.

Le plus gros problème pour les pays de l'alliance eut été de produire 
assez de couches culottes pour les socialos naZionlistes, larbins serviles 
de Fis2Pute, qui se font dessus à chacune des menaces de leur maître 
adoré.

Et de fait si l'enculé de gnome qui dirige le Kremlin s'amusait à user 
de l'arme nucléaire, il saurait qu'il en prendrait autant sur la tronche 
qu'il en enverrait.

Rayées de la carte Moscou, Saint Petersbourg.

Et le gnome sait qu'il finirait ses jours dans un bunker pour éespérer 
survivre sans n'avoir plus à diriger que des ruines, des cadavres et 
quelques cafards survivants.

Et de finir par crever comme son modèle de dictateur allemand, c'est à 
dire compme une merde,  avant que les ricains ne viennent le déloger.



Dans un entretien avec le Financial Times, l’ancien secrétaire 
général de l’OTAN, revient sur son mandat : « Je pense que nous 
devons tous admettre que nous aurions dû leur [il parle des Ukrainiens] 
fournir davantage d’armes avant l’invasion. Et nous aurions dû leur 
fournir des armes plus perfectionnées, plus rapidement, après 
l’invasion. J’assume ma part de responsabilité. »

Dès le début de l’invasion de l’Ukraine, Jens Stoltenberg, a défini 
l’approche de l’OTAN : soutenir l’Ukraine mais ne pas participer au 
conflit. Dans le même temps, de nombreuses « lignes rouges » 
annoncées par Poutine ont été franchies, et il n’a rien fait.

Pour lui, il existe des moyens de résoudre le problème de 
l’application de l’article 5 du traité de l’Atlantique Nord sur la 
sécurité collective dans le cas de l’Ukraine, si elle devient membre 
de l’Alliance avec des territoires occupés. « Il est toujours très 
dangereux de faire des comparaisons, car aucun parallèle n’est correct 
à 100 %, mais les Etats-Unis ont des garanties de sécurité envers le 
Japon. Cependant, elles ne couvrent pas les îles Kouriles, que le Japon 
considère comme territoire japonais, contrôlé par la Russie », 
déclare-t-il. Un autre exemple cité par Stoltenberg est celui de 
l’Allemagne de l’Ouest, qui considérait l’Allemagne de l’Est 
comme faisant partie d’une Allemagne plus grande : « Ils n’avaient 
pas d’ambassade à Berlin-Est. Mais l’OTAN ne protégeait bien sûr 
que l’Allemagne de l’Ouest. » Il ajoute : « Quand il y a une 
volonté, il y a des moyens de trouver la solution. Mais il faut une ligne 
qui définisse où l’article 5 est invoqué, et l’Ukraine doit 
contrôler tout le territoire jusqu’à cette frontière. »

Même avant de quitter ses fonctions, Jens Stoltenberg avait déclaré que 
la décision concernant toute future adhésion de l’Ukraine à 
l’Alliance, y compris les territoires occupés, devrait être prise par 
tous les alliés.