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J'ai téléhoné à Clintel !

L'urologue de permanence chargé de l'étude sur l'évolution du climat le 
fait vous dire que tout était normal, que ça allait bien se passer.

Enfin, tout au moins il veut le croire.
D'autant que les études de chez Clintel c'est un peu comme le bon Dieu 
des curés.
Personne n'en a jamais vu ne serait-ce qu'un embryon.

D'ailleurs plus personne ne faire référence à clintel.

Clintel ? "des urologues intelligents !" 

Pensée du jour :

"de ma fenêtre en Isère, je vois le monde et tout va bien..."




Aéroport fermé en Hongrie, coupures de courant dans les hôpitaux en 
Bulgarie, feux de forêt... L’Europe de l’Est suffoque depuis plus 
d’une semaine, rejointe désormais par le reste du pourtour 
méditerranéen.

Habitants et touristes qui étouffent, forêts qui brûlent et même 
retour de sauterelles en Italie : depuis plus d'une semaine, une nouvelle 
vague de chaleur aux conséquences désastreuses frappe les pays d'Europe 
de l'Est et la Grèce, rejointe depuis quelques jours par le reste du 
pourtour méditerranéen.

En Hongrie, le deuxième aéroport national, à Debrecen, a dû être 
provisoirement fermé : le revêtement de ses pistes n'a pas résisté au 
«stress thermique». La compagnie ferroviaire MAV a dû demander à ses 
passagers de privilégier les cars climatisés à ses wagons vétustes, 
suscitant la risée sur les réseaux sociaux.

Dans la Roumanie voisine, les coupures de courant se multiplient dans les 
hôpitaux, névralgiques en pleine canicule, à cause de pics 
exceptionnels liés à la climatisation. Un homme de 45 ans a succombé à 
la chaleur dans la ville de Botosani, selon le ministère de la Santé. Et 
des records de chaleurs nocturnes ont été battus à 10 endroits, le 
thermomètre restant au-dessus de 27°C. «Ces températures qui ne 
redescendent pas, c'est très inquiétant : si les organismes n'ont pas le 
temps de se rafraîchir la nuit, le nombre des morts devrait augmenter», 
avertit le professeur Ilan Kelman, de l'University College de Londres.

Des milliers d'hectares déjà partis en fumée
Côté écosystèmes, des milliers d'hectares sont déjà partis en fumée 
en Macédoine du Nord, en Albanie ou en Bulgarie, où un «code rouge» 
était en vigueur jeudi avec 43°C attendus. «Les habitants des villes 
européennes devront adapter non seulement leurs infrastructures mais 
aussi leurs comportements pour faire face à des vagues de chaleur plus 
intenses à l'avenir», souligne Hannah Cloke, climatologue à 
l'Université de Reading. «À l’avenir, il pourrait être presque 
impossible de sortir certains jours».

Les canicules sont rendues plus probables et plus aiguës par le 
changement climatique, expliquent les experts du climat mandatés par 
l'ONU (Giec). L'Europe est le continent qui se réchauffe le plus, les 
températures y augmentent deux fois plus vite que la moyenne mondiale, 
notent les climatologues.

Certaines régions au delà des 40°C.
En Grèce, cela fait plus de 10 jours que certaines régions dépassent 
les 40°C. La chaleur est si intense que l'Acropole, le site le plus 
visité de ce pays, a encore dû être fermée plusieurs heures mercredi. 
Dans le centre historique d'Athènes jeudi, les touristes cherchaient les 
endroits ombragés, bouteille d'eau à la main. Sur l'autre rive de la mer 
Egée, la côte turque, très touristique, s'attendait jeudi à dépasser 
les 40°C à son tour, tout comme en Anatolie, dans les terres.

Travail interdit
L'activité économique est aussi obligée de s'adapter. En Sicile, le 
travail dans l'agriculture ou le BTP est interdit depuis mercredi entre 
12h30 et 16h00 les jours où le risque est «élevé» en extérieur. La 
mesure, décrétée mercredi, est valable jusqu'au 31 août. Au total, 14 
villes italiennes (Rome, Palerme, Florence, Trieste, etc.) ont été 
placées en «alerte rouge» en raison de la chaleur et de l'humidité, 
qui accentue nettement l'effet sur la santé des températures élevées, 
même si la majeure partie de l'Italie reste sous les 40 degrés.

Cette vague de chaleur, qui touche ce pays par intermittence depuis 
plusieurs semaines, a entraîné un retour des sauterelles dans des 
régions où elles étaient absentes, comme l'Emilie-Romagne, a déploré 
le syndicat agricole Coldiretti. Au Portugal, où 40 degrés étaient 
attendus jeudi dans l'Alentejo, le risque de feu de forêt est considéré 
comme «particulièrement élevé» dans le sud et dans les terres 
jusqu'à dimanche.

En Espagne, la canicule ne fait que commencer après un début d'été 
plutôt frais. Un pic de chaleur est attendu pour ces prochains jours, 
avec 44°C dans le sud. Le tout aggravé par le phénomène de «calima» 
- des vents chargés de sable du Sahara - qui, «combiné aux 
températures élevées», «peut affecter la santé», prévient 
l'observatoire météorologique national Aemet.