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From: Canta Galet <Pancho42@free.fr>
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Ces sales cons sont au premier rang quand il s'agit de salir et d'insulter 
qui le président ou son épouse.

mais leur posture ne sert qu'une seule cause, celle de masquer la 
réalité de la mafia lepéniste et du gang mafieux qui occupe les plus 
haut poste du parti qui s'était vendu à Poutine.

Lisez plutôt : 



Accusations d’anciens collaborateurs, soupçons d’emplois fictifs, 
diffamation ou encore procédure d’inéligibilité… Plusieurs 
candidats du Rassemblement national (RN), qualifiés pour le second tour 
ou réélus dès le premier tour des élections législatives, ont vu 
ressortir, ces dernières semaines, des affaires judiciaires et des 
enquêtes les concernant dans la presse. Le Monde fait le point sur 
certains de ces dossiers.


Quatre candidats concernés par l’affaire des assistants parlementaires 
européens
Le 30 septembre, plusieurs cadres du RN, dont Marine Le Pen, 
comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Paris dans l’affaire 
des assistants d’eurodéputés. Le RN est soupçonné d’avoir 
organisé un mécanisme lui permettant de salarier des permanents du parti 
avec les crédits accordés par le Parlement européen à ses députés, 
pour qu’ils rémunèrent leurs assistants. Or les règles de 
l’institution précisent clairement que les assistants ainsi payés 
doivent être dévolus exclusivement au travail parlementaire.

Déclenchée par une lettre anonyme en 2014, l’affaire a déjà été 
tranchée du côté du Parlement lui-même : ce dernier, qui chiffre le 
préjudice total de ces emplois à plus de 6 millions d’euros, a 
réclamé à Marine Le Pen le remboursement de 300 000 euros pour avoir 
rémunéré deux assistants « fictifs ». Une somme que 
l’intéressée a longtemps refusé de payer, multipliant les recours 
judiciaires, sans succès, avant de finalement s’en acquitter en 
septembre 2023.


Le Parlement européen a aussi saisi la justice française du dossier. En 
septembre 2023, le parquet de Paris a requis le renvoi de vingt-sept 
personnes pour des faits de « détournement de fonds publics » ou de 
« complicité » de ce détournement. Le parti est également poursuivi 
au titre de personne morale.

Plusieurs candidats du RN aux législatives font partie de ces prévenus, 
à commencer par Marine Le Pen, réélue dès le premier tour dans la 
11e circonscription du Pas-de-Calais. Elle est accusée, d’une part, 
d’avoir validé le mécanisme de rémunération en tant que présidente 
du RN, et d’autre part d’avoir salarié durant cinq ans Catherine 
Griset, sa cheffe de cabinet (devenue entre-temps députée européenne), 
qui aurait en réalité travaillé pour le parti. Elle aurait également 
rémunéré sur des crédits européens Thierry Légier, son garde du 
corps.


Julien Odoul, réélu député de la 3e circonscription de l’Yonne dès 
le premier tour, comparaîtra également au procès. En 2014, il était 
embauché comme assistant parlementaire de Mylène Troszczynski, sans 
l’avoir jamais rencontrée, selon des éléments de l’enquête 
révélés par Le Monde.

Dominique Bilde, eurodéputée RN et candidate dans la 4e circonscription 
de Meurthe-et-Moselle, figurera aussi sur les bancs des prévenus. Elle 
est soupçonnée d’avoir salarié comme assistant Loup Viallet pour un 
travail jugé inexistant par le Parlement européen.

Enfin, Timothée Houssin, député sortant arrivé largement en tête du 
premier tour dans la 5e circonscription de l’Eure, est également 
prévenu dans ce dossier. Il est soupçonné d’avoir été rémunéré 
comme assistant parlementaire de l’eurodéputé Nicolas Bay 
en 2014-2015, alors qu’il aurait là aussi travaillé en réalité pour 
le parti.

Des candidats ayant fait l’objet de condamnations
Certains candidats ont été par le passé condamnés par la justice, 
principalement pour des affaires de diffamation ou d’injures.

Olivier Monteil
Arrivé en tête avec une avance confortable dans la 2e circonscription 
des Hautes-Pyrénées, le candidat a eu affaire à la justice il y a 
quelques années pour une initiative très décriée : en 2016, il avait 
publié sur son profil Facebook une note d’information interne du 
commissariat de Lourdes contenant les adresses de sites accueillant des 
réfugiés, pour dénoncer la présence de « 250 “migrants” logés, 
nourris et soignés gratuitement, et même payés aux frais du 
contribuable ». Le conseiller régional a été condamné en 2018 pour 
« recel de bien provenant de la violation du secret professionnel », 
selon France 3 Occitanie.

Gilles Bourdouleix
En ballottage défavorable dans la 5e circonscription de Maine-et-Loire, 
le maire de Cholet est un habitué des sorties litigieuses. Au rang de ses 
affaires judiciaires, il a été poursuivi en justice pour apologie de 
crime contre l’humanité pour avoir déclaré, en 2013, à propos de 
gens du voyage installés sur un site de sa commune : « Hitler n’en a 
peut-être pas tué assez. » Confirmée en appel en 2014, la 
condamnation de l’édile – à l’époque encarté à l’Union des 
démocrates et indépendants, parti de centre droit – a finalement été 
annulée en décembre 2015 par la Cour de cassation, qui a estimé que 
l’élu n’avait pas souhaité rendre publics ces propos.

L’homme politique a en outre été condamné pour outrages, en 2022, 
après avoir agressé verbalement des agents de l’Urssaf au cours d’un 
contrôle. L’élu, connu pour ses invectives visant les journalistes, a 
été poursuivi à de nombreuses reprises pour injures ou diffamation, et 
a notamment été condamné pour des attaques verbales visant le journal 
Ouest-France.

Bruno Bilde
Réélu au premier tour dans la 12e circonscription du Pas-de-Calais, 
Bruno Bilde a été accusé en 2018 de harcèlement sexuel par plusieurs 
anciens assistants parlementaires, qui dénonçaient également des 
pressions et des manœuvres d’intimidation au sein du Front national 
(FN) pour taire l’affaire. Début 2023, l’élu a été débouté 
définitivement de sa plainte en diffamation contre le quotidien 
Libération, qui avait révélé l’affaire.

L’élu a également été mis en cause en 2016, alors qu’il était 
conseiller municipal d’Hénin-Beaumont, pour avoir proféré, dans le 
journal de la ville, ce qui était perçu comme des accusations de 
favoritisme visant la fille d’un ancien maire socialiste. Sa 
condamnation pour diffamation a été confirmée en appel deux ans plus 
tard.

Frédéric Boccaletti
Député sortant de la 7e circonscription du Var, où il est en passe 
d’être réélu, également élu local et homme-clé du RN dans le sud 
de la France, Frédéric Boccaletti a connu la prison.

En 2000, lors d’une altercation alors qu’il colle des affiches, celui 
qui a quitté le FN pour suivre la sécession mégrétiste s’empare 
d’une batte de base-ball pour poursuivre ses opposants, et confie au 
militant qui se trouve avec lui une arme, qu’il détient sans permis. Le 
jeune homme tire deux fois, sans atteindre sa cible. Condamné à un an 
de prison, dont six mois ferme, pour « violences en réunion avec 
armes », Frédéric Boccaletti sera remis en liberté pour raisons de 
santé après quatre mois de détention.

Des procédures en cours
Deux potentiels futurs députés font aujourd’hui l’objet de 
procédures en cours, dont une très récente, qui a forcé le président 
du RN à désavouer le candidat concerné.

Daniel Grenon
Lâché par Jordan Bardella au cours d’une interview sur BFM-TV, 
mercredi 3 juillet, le député sortant de la 1re circonscription de 
l’Yonne, Daniel Grenon, pourrait ne pas siéger avec le groupe RN s’il 
emportait l’élection. Le procureur de la République a en effet été 
saisi après la publication dans L’Yonne républicaine d’un débat 
d’entre-deux-tours, dans lequel le député estime, à propos des 
binationaux : « Des Maghrébins sont arrivés au pouvoir en 2016, ces 
gens-là n’ont pas leur place dans les hauts lieux. » Des propos qui 
ont été dénoncés comme tronqués par le candidat, ce qui a amené la 
rédaction à mettre en ligne l’extrait sonore pour se défendre



Laurent Jacobelli
Député sortant de la 8e circonscription de Moselle et ancien du 
mouvement Debout la France, Laurent Jacobelli a été mis en examen, le 
8 avril, pour « injures et diffamation envers un membre du 
Parlement », à la suite d’une plainte déposée en octobre par 
l’élu Renaissance Belkhir Belhaddad. Le candidat, qui rappelle qu’il 
s’agit d’une procédure « classique » dans le cadre des plaintes 
pour diffamation, avait traité l’élu de la majorité présidentielle, 
d’origine algérienne, de « racaille ». M. Jacobelli, qui dément 
toute connotation raciste dans ses propos, avait également, au cours de 
ce même échange, demandé « Le Hamas va bien ? » au député, lui 
reprochant d’avoir participé à une cérémonie officielle avec une 
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