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From: Canta Galet <Pancho42@free.fr>
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Lines: 71

Le 24/07/2024 à 23:55, Richard Hachel a écrit :
> Le 24/07/2024 à 22:00, Lebref a écrit :
>> P Cormoran : 
>> 
>>> En 1940 quand les Nazis progressaient ils libéraient aussi la France ?
>> 
>> Pas plus que les anglo-américains en 44. 
> 
>  Absolument.
> 
>  "Vous entendez Peyrefitte, ces gens-là ne sont pas venus nous libérer, mais 
> pour créer une seconde occupation, quoique je ne me suis pas laissé faire, j'ai 
> ordonné qu'on libère Paris de nous-mêmes, et qu'on défende Strasbourg de 
> nous-mêmes s'il le fallait. Les américains ont fini par céder. Pour le reste, 
> JAMAIS
> je n'assisterai à une de leur cérémonie du débarquement, et comme je n'y 
> serais pas présent, ils n'oseront pas venir non plus".  Charles de Gaulle.
> 
>  "Un Empire, ce n'est pas gentil. Un empire, ça ne veut pas d'alliés, ça veut 
> juste des subalternes. 
> Ca veut une domination implacable sur le monde. Non, un empire, ce n'est pas 
> GENTIL" François Asselineau.
> 
>  "Les Français ne le savent pas, mais nous sommes en guerre avec l'Amérique. 
> Une guerre inconnue, sans morts apparemment, et pourtant une guerre à mort".
>                                     François Mitterrand.
> 
>  Absolument.
> 
>  Pas plus que les anglo-américains en 1944 qui auraient tant voulu négocier 
> avec Pétain et Laval, plutôt qu'avec de Gaulle.
> 
>  R.H. 



-- "L'Europe, depuis l'Atlantique jusqu'à l'Oural."
Charles De Gaulle, le 7 juin 1959.

--"Du moment que je suis français je suis européen."
Charles de Gaulle, le 14 décembre 1965.

-- "Américains, je vous dis, ici : Défendez l'Europe. Elle a besoin de 
vous et vous avez besoin d'elle.
Charles de Gaulle, le 11 février 1950.

-- "La France, pour sa part, a choisi, elle a choisi d'être du côté des 
peuples libres, elle a choisi d'être avec vous."
 Washington, Charles de Gaulle, le 25 avril 1960.

-- "Je n'ai, dans aucune de mes déclarations, parlé de "l'Europe des 
patries"
Charles de Gaulle, le 29 décembre 1961.

-- "L'univers abonde en sirènes qui nous chantent les douceurs du 
renoncement."
Charles de Gaulle, le 19 avril 1963

-- "Il ne faut pas s'attendre, bien sûr, à ce que les professionnels de 
la nostalgie, du dénigrement, de l'aigreur renoncent, tout au moins pour 
le moment, à suer le fiel, à cracher la bile et à lâcher le vinaigre."
Charles de Gaulle, le 14 janvier 1963 

-- "Il y a des pays, en particulier le nôtre, qui sont tout le temps, on 
peut le dire, en danger de mort subite."
Charles de Gaulle, le 14 janvier 1963 

"...Il est tout à fait naturel que l'on ressente la nostalgie de ce qui 
était l'Empire, comme on peut regretter la douceur des lampes à huile, 
la splendeur de la marine à voile, le charme du temps des équipages..."
Charles de Gaulle, le 14 juin 1960.