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Et non ce ne sont pas des noirs et des arabes.

Mais de bons français, bien blancs et peut être même de bons 
chrétiens.

De bons pères de famille nous dit-on !

Certains seraient même des nationalistes farouches convaincus qu'il faut 
interdire l'avortement et que les immigrés sont tous des délinquants et 
des violeurs.

Le plus comique c'est qu'habituellement les pseudos nationalos socialistes 
qui votent pour des escrocs mi en examen tout en se plantant comme avoir 
la tête haute ete les mains propres,

ne réclament pas que les noms des coupables soient publiés.

Dupont, Durant, Duchemin, Latour, Martin, Duprés, etc... Pas facile de 
promouvoir le racisme dans de telles conditions !
  


Pompier, journaliste, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, 
retraité, conseiller municipal, ouvrier, informaticien, militaire, 
chômeur… Les accusés viennent de tous les milieux sociaux.

- Le plus jeune des accusés avait 22 ans au moment des faits, le plus 
âgé 67 ans. Huit d’entre eux ont moins de 35 ans, six ont plus de 65 
ans : la moyenne d’âge est de 47 ans et demi.

- Au moins trente-sept accusés sont pères de famille, un est en 
procédure d’adoption.

- Avant leur interpellation, la plupart des accusés vivaient dans un 
rayon de moins de 60 kilomètres autour de la commune de Mazan, dans le 
Vaucluse, où le couple Pelicot résidait après avoir quitté la région 
parisienne, en 2013.

- Trente-neuf accusés se sont rendus une seule fois au domicile des 
Pelicot pour abuser de Gisèle Pelicot inconsciente, selon les faits 
établis par les enquêteurs. Dix accusés y ont été en revanche à 
plusieurs reprises : six accusés deux fois, et jusqu’à six fois pour 
quatre accusés. A une occasion, deux hommes étaient présents en même 
temps, outre Dominique Pelicot.

- Seulement cinq accusés ont été identifiés sur les vidéos comme 
portant un préservatif. Au moins treize accusés n’en portaient pas. 
L’un d’eux était séropositif au moment des faits. « Par une chance 
extraordinaire », comme cela a été souligné au tribunal par une 
experte médicale, Mme Pelicot a échappé au VIH, à une hépatite B ou 
C, à la syphilis. Elle a cependant contracté quatre maladies 
sexuellement transmissibles.

- Quarante-neuf accusés sont jugés pour viol avec plusieurs 
circonstances aggravantes (fait commis en réunion, administration d’une 
substance à la victime pour altérer son discernement ou le contrôle de 
ses actes), un pour tentative de viol et un pour agression sexuelle. Cinq 
accusés sont mis en examen, en outre, pour détention d’images 
pédopornographiques.

- Dominique Pelicot a déclaré aux enquêteurs avoir fourni à quatre 
accusés, sur leur demande, du Temesta afin d’agresser sexuellement 
d’autres femmes selon le même mode opératoire que celui employé sur 
Gisèle Pelicot. L’un d’entre eux est passé à l’acte sur sa propre 
femme, une dizaine de fois, dont au moins deux avec la participation de 
Dominique Pelicot. C’est le seul des accusés à être jugé non pas 
pour le viol de Gisèle Pelicot, mais pour celui de son épouse.

- Au premier jour de l’audience, trente-cinq accusés ont contesté les 
faits qui leur étaient reprochés, estimant qu’ils n’avaient ni 
l’intention ni la conscience de commettre un viol. Comme Dominique 
Pelicot l’a affirmé à la barre, « ils savaient tous, ils ne peuvent 
pas dire le contraire ».

- Selon ce qu’il a déclaré aux enquêteurs, environ trois personnes 
sur dix, avec qui il échangeait sur les réseaux sociaux, refusaient 
finalement son invitation, après qu’il eut exposé ce qu’il 
pratiquait sur sa femme.

- Personne n’a prévenu les autorités.

https://www.lemonde.fr/societe/visuel/2024/09/28/qui-sont-les-accuses-du-proces-pelicot_6337406_3224.html