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From: Buk <bl@bl.co>
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Date: Sat, 28 Jun 2025 11:43:57 +0200
Lines: 25
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X-Newsreader: MesNews/1.08.06.00

L’été 2025 marque un tournant explosif dans les relations 
transatlantiques. Alors que Donald Trump, président des États-Unis, 
déclenche une nouvelle vague de tarifs douaniers contre l’Union 
européenne, l’Allemagne et l’Italie réagissent avec une opération 
historique : le rapatriement de 1 930 tonnes d’or stockées depuis des 
décennies à la Réserve fédérale de New York. Face à cette 
décision-choc, Trump perd littéralement la tête, accusant ses alliés de 
trahison. À Berlin, Friedrich Merz (CDU) subit la pression de l’AfD et 
de l’opinion publique, tandis qu’à Rome, Giorgia Meloni joue la 
prudence. En pleine tempête diplomatique, la Fed voit s’envoler 
l’équivalent de 209 milliards de dollars, escortés par l’OTAN.

Mais dans le silence glacial du nord, Mark Carney, Premier ministre du 
Canada, observe la scène avec calme. Alors que Trump multiplie les 
menaces, Carney incarne une stratégie opposée : stabilité, autonomie, 
et or déjà sécurisé sur le territoire canadien. Ce choc diplomatique 
met en lumière la méfiance croissante envers Washington. Tandis que la 
Bundesbank et la Banque d’Italie s’expriment prudemment, le monde 
financier tremble. L’Europe humilie Trump à la Fed, et le Canada, sans 
un mot, marque un point stratégique. Une crise d’or qui redéfinit les 
équilibres mondiaux et expose la fragilité du leadership américain.
https://youtu.be/vzwKzrHhr84

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Si le diable aboie, c’est Dieu qui tient la laisse » - Gabriel Amorth