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From: Paul Aubrin <paul.aubrin@invalid.org>
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Chen, Y., Y. Huang, and T. M. Merlis, 2023: The Global Patterns of 
Instantaneous CO2 Forcing at the Top of the Atmosphere and the Surface. 
J. Climate, 36, 6331–6347, https://doi.org/10.1175/JCLI-D-22-0708.1.

Une publication scientifique récente réévalue sérieusement à la baisse 
la "sensibilité climatique" :
Le doublement du CO2 de 380 à 760 ppm n'entraîne qu'un forçage de 2,26 
W/m², 1,71 W/m² et 0,55 W/m² au niveau de l'altitude totale, de la 
surface et de la troposphère, respectivement. Ces valeurs de forçage 
représentent des différences de température de 0,72°C, 0,55°C et 0,18°C, 
respectivement (0,32°C/W/m²).

Cela correspond à une réduction de 40% des 3,7 W/m² d'augmentation du 
"forçage radiatif" selon le vocabulaire des "experts" du GIEC et à un 
réchauffement limité à 0,72 °C au "sommet de l'atmosphère" et de 
seulement 0,55 °C en surface. Ce changement du flux radiatif serait nul 
pour d'importantes parties de la surface terrestre, l'Antarctique en 
particulier. Le reste du "réchauffement climatique" pourrait donc être 
lié à des fluctuations naturelles. Le dioxyde de carbone ne serait pas 
le bouton de thermostat de la Terre.

On est loin des 2 à 6 °C qui est la "théorie" du GIEC, ou plutôt son 
hypothèse de travail, mais qui ne repose sur aucune observation empirique.

Chen, Y., Y. Huang, and T. M. Merlis, 2023: The Global Patterns of 
Instantaneous CO2 Forcing at the Top of the Atmosphere and the Surface. 
J. Climate, 36, 6331–6347, https://doi.org/10.1175/JCLI-D-22-0708.1.

En effet, le centre de la bande de transmission des IR vers l'espace est 
saturé et non seulement par les concentrations de dixoyde de carbone 
actuelles, mais aussi par la vapeur d'eau.

  Autre point intéressant, les concentrations élevées de CO2 auraient 
pour effet de refroidir l'Antarctique.

  En attendant, les "modèles climatiques" du GIEC continuent à 
surchauffer, les augmentations de température apocalyptiques sont 
toujours basés sur des scénarios impossibles (par exemple RCP8.5) et les 
"experts" en "attribution" continuent à affirmer qu'ils sont capables 
d'assigner chaque vague de chaleur, de froid, chaque sécheresse et 
chaque ouragan en tout ou partie à "l'ébullition climatique" du 
secrétaire général des Nations Unies.

NB : Les auteurs de la publication DOI:10.1175/JCLI-D-22-0708.1 ne sont 
pas des adeptes de la terre plate, ni des adorateurs du 3e Reich...