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X-Received: by 2002:a05:622a:1012:b0:418:1dbb:95e1 with SMTP id d18-20020a05622a101200b004181dbb95e1mr347535qte.9.1697054807516; Wed, 11 Oct 2023 13:06:47 -0700 (PDT) X-Received: by 2002:a9d:67cb:0:b0:6ab:8d3:5209 with SMTP id c11-20020a9d67cb000000b006ab08d35209mr6934442otn.5.1697054807116; Wed, 11 Oct 2023 13:06:47 -0700 (PDT) Path: ...!news-out.google.com!nntp.google.com!postnews.google.com!google-groups.googlegroups.com!not-for-mail Newsgroups: fr.sci.physique Date: Wed, 11 Oct 2023 13:06:46 -0700 (PDT) In-Reply-To: <wQb3Xx74b6cPHpJ6vzZld8Jld_w@jntp> Injection-Info: google-groups.googlegroups.com; posting-host=78.240.62.229; posting-account=1qbAGAkAAADcUtlizzXUEb5jUjfAdE2y NNTP-Posting-Host: 78.240.62.229 References: <da40a6a5-1909-4fbb-a00b-45436ae5dd56n@googlegroups.com> <0b8dd8c1-34ff-420e-bdb3-1aee40d51586n@googlegroups.com> <wQb3Xx74b6cPHpJ6vzZld8Jld_w@jntp> User-Agent: G2/1.0 MIME-Version: 1.0 Message-ID: <23cdcaa7-fa0f-4875-9849-d75b92986b1fn@googlegroups.com> Subject: =?UTF-8?Q?Re=3A_Th=C3=A9ories_correctes_mais_fausses?= From: Yanick Toutain <yanicktoutain@gmail.com> Injection-Date: Wed, 11 Oct 2023 20:06:47 +0000 Content-Type: text/plain; charset="UTF-8" Content-Transfer-Encoding: quoted-printable Bytes: 12449 Lines: 200 Le mercredi 11 octobre 2023 =C3=A0 12:21:33 UTC+2, Julien Arlandis a =C3=A9= crit=C2=A0: > Le 11/10/2023 =C3=A0 11:34, Richard Verret a =C3=A9crit :=20 > > Le 11/10/2023 =C3=A0 06:31, Yanick Toutain a =C3=A9crit :=20 > >> En dehors des vitesses absolues, le mot r=C3=A9el pour vitesse =C3=A0 = aucun sens.=20 > >> Pour Newton, un corps change de lieu en un temps donn=C3=A9.=20 > >> L'=C3=A9cart entre ces 2 lieux est une distance objective.=20 > >> Divis=C3=A9e par un d=C3=A9lai cela donne la vitesse objective=20 > >> Il n'y a rien de r=C3=A9el autre que =C3=A7a.=20 > > Tout =C3=A0 fait ! la vitesse r=C3=A9elle =E2=80=94ou objective si tu p= r=C3=A9f=C3=A8res=E2=80=94 est la=20 > > distance L parcourue pendant un temps =CE=94t: v =3D L/=CE=94t. La mesu= re instantan=C3=A9e est=20 > > la vitesse per=C3=A7ue par un observateur, elle est fictive Vp =3D dLp/= dt =3D dL/=CE=B3dt =3D=20 > > v/=CE=B3.=20 > > Il faudrait le dire aux gendarmes qui mesurent la vitesse des voitures = sur les=20 > > autoroutes, mais surtout aux physiciens qui mesurent celle des particul= es dans les=20 > > cyclotrons et autres synchrotrons.=20 > > J=E2=80=99oppose r=C3=A9el =C3=A0 fictif, ce que nous percevons est, en= fait, une illusion, la=20 > > r=C3=A9alit=C3=A9 nous =C3=A9chappe. > Ta d=C3=A9finition de la vitesse r=C3=A9elle est exactement la d=C3=A9fin= ition de la=20 > vitesse en cin=C3=A9matique et c'est bien celle qui est mesur=C3=A9e en p= hysique,=20 > par les radars, dans les acc=C3=A9l=C3=A9rateurs de particule, par tout a= ppareil=20 > qui a besoin de mesurer une vitesse en fait. Pour les mesures de vitesses= =20 > astronomiques, on utilise par commodit=C3=A9 le concept de vitesse appare= nte=20 > mais qui n'a rien =C3=A0 voir avec la vitesse per=C3=A7ue dont tu parles.= Ce que=20 > tu appelles vitesse per=C3=A7ue n'existe que dans ta t=C3=AAte, tu sous e= ntends=20 > que les exp=C3=A9rimentateurs ne sont pas capables de mesurer ce qu'ils= =20 > d=C3=A9finissent, ce qui est ridicule. Les calculs de vitesses tiennent= =20 > =C3=A9videmment compte de la vitesse d'=C3=A9change des signaux lorsque l= a=20 > distance n'est pas directement mesur=C3=A9e (cas d'un radar par exemple o= u=20 > lorsque plus g=C3=A9n=C3=A9ralement le processus de la mesure ne fait int= ervenir=20 > qu'une seule horloge).=20 > Ton postulat de vitesse r=C3=A9el que tu opposes =C3=A0 la vitesse per=C3= =A7ue sur=20 > lequel repose tout ton fatras est doublement d=C3=A9nu=C3=A9 de pertinenc= e car :=20 > 1) Il n'y a pas de diff=C3=A9rence de d=C3=A9finition entre la vitesse me= sur=C3=A9e et=20 > la vitesse d=C3=A9finie par v =3D dL/dt. Sauf =C3=A0 consid=C3=A9rer que = les=20 > exp=C3=A9rimentateurs sont tous des cr=C3=A9tins incapables de comprendre= et=20 > d'appliquer une d=C3=A9finition.=20 > 2) Les th=C3=A9ories de la physique donnent des r=C3=A9sultats ind=C3=A9p= endants de la=20 > mani=C3=A8re dont les exp=C3=A9rimentateurs s'y prennent pour la tester.= =20 >=20 > Ta confusion est abyssale =C3=A0 tout point de vue. La seule vitesse r=C3=A9elle qui puisse exister c=E2=80=99est la vitesse da= ns la r=C3=A9alit=C3=A9.=20 La vitesse est une propri=C3=A9t=C3=A9 d=E2=80=99un corps. Elle lui est pr= opre. La vitesse (r=C3=A9elle, c=E2=80=99est une tautologie) de ce corps es= t donc totalement ind=C3=A9pendante d=E2=80=99un quelconque observateur. Si ce corps avait besoin d=E2=80=99un observateur pour avoir une vitesse, c= ette vitesse ne serait donc plus une propri=C3=A9t=C3=A9 de ce corps. Elle = serait une relation de ce corps avec chaque observateur particulier et une = relation de chaque observateur avec le corps. La confusion persiste sans fin pour deux raisons principales. 1=C2=B0 Le refus des positivistes de produire un texte critique d=C3=A9mont= ant point par point les arguments de Isaac Newton dans son De Gravitation e= t dans ses Scholies fondateurs des Principia 2=C2=B0 Le refus des positivistes de 2023 de pr=C3=A9ciser s=C3=A9rieusemen= t leur terminologie. Pour un mat=C3=A9rialiste newtoniste les vitesses ont =C3=A9t=C3=A9 d=C3=A9= finies en m=C3=AAme temps que les mouvements =C2=AB=C2=A0on est tomb=C3=A9 dans plusieurs erreurs. Pour les =C3=A9viter, il faut distinguer le temps, l=E2=80=99espace, le lie= u, et le mouvement, en absolus et relatifs, vrais et apparents, math=C3=A9m= atiques et vulgaires. I. Le temps absolu, vrai et math=C3=A9matique, sans relation =C3=A0 rien d= =E2=80=99ext=C3=A9rieur, coule uniform=C3=A9ment, et s=E2=80=99appelle dur= =C3=A9e. Le temps relatif, apparent et vulgaire, est cette mesure sensible = et externe d=E2=80=99une partie de dur=C3=A9e quelconque (=C3=A9gale ou in= =C3=A9gale) prise du mouvement=C2=A0: telles sont les mesures d=E2=80=99heu= res, de jours, de mois, et c=E2=80=99est ce dont on se sert ordinairement = =C3=A0 la place du temps vrai. II. L=E2=80=99espace absolu, sans relation aux choses externes, demeure tou= jours similaire et immobile. L=E2=80=99espace relatif est cette mesure ou dimension mobile de l=E2=80=99= espace absolu, laquelle tombe sous nos sens par sa relation aux corps, et q= ue le vulgaire confond avec l=E2=80=99espace immobile. C=E2=80=99est ainsi,= par exemple, qu=E2=80=99un espace, pris au-dedans de la Terre ou dans le c= iel, est d=C3=A9termin=C3=A9 par la situation qu=E2=80=99il a =C3=A0 l=E2= =80=99=C3=A9gard de la Terre. L=E2=80=99espace absolu et l=E2=80=99espace relatif sont les m=C3=AAmes d= =E2=80=99esp=C3=A8ce et de grandeur=C2=A0; mais ils ne le sont pas toujours= de nombre=C2=A0; car, par exemple, lorsque la Terre change de place dans l= =E2=80=99espace, l=E2=80=99espace qui contient notre air demeure le m=C3=AA= me par rapport =C3=A0 la Terre, quoique l=E2=80=99air occupe n=C3=A9cessair= ement les diff=C3=A9rentes parties de l=E2=80=99espace dans lesquelles il p= asse, et qu=E2=80=99il en change r=C3=A9ellement sans cesse. III. Le lieu est la partie de l=E2=80=99espace occup=C3=A9e par un corps, e= t par rapport =C3=A0 l=E2=80=99espace, il est ou relatif ou absolu. Je dis que le lieu est une partie de l=E2=80=99espace, et non pas simplemen= t la situation du corps, ou la superficie qui l=E2=80=99entoure=C2=A0: car = les solides =C3=A9gaux ont toujours des lieux =C3=A9gaux, quoique leurs sup= erficies soient souvent in=C3=A9gales, =C3=A0 cause de la dissemblance de l= eurs formes, les situations, =C3=A0 parler exactement, n=E2=80=99ont point = de quantit=C3=A9, ce sont plut=C3=B4t des affections des lieux, que des lie= ux proprement dits. De m=C3=AAme que le mouvement ou la translation du tout hors de son lieu es= t la somme des mouvements ou des translations des parties hors du leur=C2= =A0; ainsi le lieu du tout est la somme des lieux de toutes les parties, et= ce lieu doit =C3=AAtre interne, et =C3=AAtre dans tout le corps entier (et= propterea internus et in corpore toto). IV. Le mouvement absolu est la translation des corps d=E2=80=99un lieu abso= lu dans un autre lieu absolu, et le mouvement relatif est la translation d= =E2=80=99un lieu relatif dans un autre lieu relatif=C2=A0; ainsi dans un va= isseau pouss=C3=A9 par le vent, le lieu relatif d=E2=80=99un corps est la p= artie du vaisseau dans laquelle ce corps se trouve, ou l=E2=80=99espace qu= =E2=80=99il occupe dans la cavit=C3=A9 du vaisseau=C2=A0; et cet espace se = meut avec le vaisseau=C2=A0; et le repos relatif de ce corps est sa permane= nce dans la m=C3=AAme partie de la cavit=C3=A9 du vaisseau. Mais le repos v= rai du corps est sa permanence dans la partie de l=E2=80=99espace immobile,= o=C3=B9 l=E2=80=99on suppose que se meut le vaisseau et tout ce qu=E2=80= =99il contient. Ainsi, si la Terre =C3=A9tait en repos, le corps qui est da= ns un repos relatif dans le vaisseau aurait un mouvement vrai et absolu, do= nt la vitesse serait =C3=A9gale =C3=A0 celle qui emporte le vaisseau sur la= surface de la Terre=C2=A0; mais la Terre se mouvant dans l=E2=80=99espace,= le mouvement vrai et absolu de ce corps est compos=C3=A9 du mouvement vrai= de la Terre dans l=E2=80=99espace immobile, et du mouvement relatif du vai= sseau sur la surface de la Terre=C2=A0; et si le corps avait un mouvement r= elatif dans le vaisseau, son mouvement vrai et absolu serait compos=C3=A9 d= e son mouvement relatif dans le vaisseau, du mouvement relatif du vaisseau = sur la Terre, et du mouvement vrai de la Terre dans l=E2=80=99espace absolu= ..=C2=A0=C2=BB Newton Scholies Pour un mat=C3=A9rialiste newtoniste les vitesses sont parfaitement d=C3=A9= finies. Ainsi que les pseudo vitesses (phitesses, distesses et pseudo vitesses circ= ulaires) 1=C2=B0 Les vitesses sont la distance r=C3=A9ellement parcourue par un corp= s dans le vide par unit=C3=A9 de temps La vitesse d=E2=80=99un corps est une des propri=C3=A9t=C3=A9s de ce corps Les autres pseudo vitesses sont donc=20 2=C2=B0 La phitesse Elle est une pseudo vitesse qui n=E2=80=99est pas une propri=C3=A9t=C3=A9 d= u corps. La phitesse est la variation de longueur de trajet parcouru par deux photon= s successifs (avec un d=C3=A9lai e) =C3=A9mis par un corps =C3=A9metteur = et re=C3=A7us par un r=C3=A9cepteur (avec un d=C3=A9lai r)=20 Chaque corps a des milliards de phitesses puisque chaque corps a autant de = phitesse que d=E2=80=99observateurs potentiels dans l=E2=80=99univers. Une phitesse n=E2=80=99est pas une propri=C3=A9t=C3=A9 de ce corps mais une= relation (non instantan=C3=A9e) qu=E2=80=99a chaque observateur avec ce co= rps. Un corps peut d=E2=80=99ailleurs avoir encore une phitesse apr=C3=A8s avoir= totalement explos=C3=A9. Il sera encore vu par des observateurs de l=E2=80= =99univers se trouvant =C3=A0 grande distance et recevant les signaux lumin= eux =C3=A9mis avant l=E2=80=99explosion. Une phitesse d=C3=A9pend de 4 lieux et de deux vitesses (objectives). Celle= ========== REMAINDER OF ARTICLE TRUNCATED ==========