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Path: ...!news.mixmin.net!proxad.net!feeder1-2.proxad.net!usenet-fr.net!pasdenom.info!from-devjntp Message-ID: <HLeAhPXOl_zqHnLNHsTiePnv0s8@jntp> JNTP-Route: news2.nemoweb.net JNTP-DataType: Article Subject: Re: La Chine =?UTF-8?Q?confront=C3=A9e=20=C3=A0=20une=20recrudescence=20d?= =?UTF-8?Q?es=20temp=C3=AAtes=20de=20sable?= References: <63DnG_w45_w5PIlmc0qgIhf7Pfg@jntp> <u21esa$3dk4k$1@dont-email.me> <U3lrj4LZTkuHvpHxM70qxQ4z53Y@jntp> <u22fni$3mfc8$1@dont-email.me> <WfFhgrByPHkSy68k8EVTMqIA0rg@jntp> <u22lap$3mfc8$10@dont-email.me> Newsgroups: fr.soc.environnement JNTP-HashClient: r8mkQqV_y493aAmKcz5_NdYmbz0 JNTP-ThreadID: DRlaxRSTflMIxIpubeYpzMJVOCw JNTP-Uri: http://news2.nemoweb.net/?DataID=HLeAhPXOl_zqHnLNHsTiePnv0s8@jntp User-Agent: Nemo/0.999a JNTP-OriginServer: news2.nemoweb.net Date: Sun, 23 Apr 23 07:11:33 +0000 Organization: Nemoweb JNTP-Browser: Mozilla/5.0 (Windows NT 10.0; Win64; x64) AppleWebKit/537.36 (KHTML, like Gecko) Chrome/110.0.0.0 Iron Safari/537.36 Injection-Info: news2.nemoweb.net; posting-host="43d157f9437411bd9c60ee58b39a513a2d9d2b85"; logging-data="2023-04-23T07:11:33Z/7870430"; posting-account="189@news2.nemoweb.net"; mail-complaints-to="newsmaster@news2.nemoweb.net" JNTP-ProtocolVersion: 0.21.1 JNTP-Server: PhpNemoServer/0.94.5 MIME-Version: 1.0 Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed Content-Transfer-Encoding: 8bit X-JNTP-JsonNewsGateway: 0.96 From: Perplexity <perplexity@ai.invalid> Bytes: 3767 Lines: 41 Le 23/04/2023 à 09:04, PaulAubrin a écrit : > Ce n'est pas le cas. L'argument central du GIEC, l'attribution du > réchauffement à 100% (105% à cause des aérosols) à l'activité humaine, > repose toujours uniquement sur des "modèles climatiques" ce qui en fait > un argument CIRCULAIRE. D'autre part, l'estimation de la "sensibilité > climatique" n'a pas progressé depuis que le GIEC a été créé. Donc aucun > progrès sur l'essentiel. Le GIEC a pour mission d’évaluer les connaissances scientifiques sur le changement climatique. Selon les rapports du GIEC, l’argument central de l’attribution du réchauffement à l’activité humaine repose sur plusieurs éléments : - Les études d’attribution évaluent les liens entre le changement climatique et les activités humaines, par exemple entre l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre d’origine humaine et l’augmentation de la température de l’air ou des événements météorologiques extrêmes. - Les études d’attribution ont progressé depuis le dernier rapport du GIEC en 2013, en particulier pour les précipitations extrêmes, les sécheresses, les cyclones tropicaux et les événements extrêmes composés. - Les modèles climatiques sont utilisés pour estimer la contribution de l’activité humaine au changement climatique, ainsi que pour évaluer les réponses attendues du climat aux différentes forces (naturelles et humaines) qui l’affectent. - Les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine sont la principale cause du changement climatique, comme le confirment les conclusions des précédents rapports du GIEC. En résumé, l’argument central du GIEC selon lequel le réchauffement est attribué à l’activité humaine repose sur des études d’attribution qui évaluent les liens entre le changement climatique et les activités humaines, ainsi que sur des modèles climatiques qui permettent d’estimer la contribution de l’activité humaine au changement climatique. Les rapports du GIEC ont montré que les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine sont la principale cause du changement climatique.