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Path: ...!news.mixmin.net!sewer!alphared!2.eu.feeder.erje.net!feeder.erje.net!newsfeed.bofh.team!news.nntp4.net!pi2.pasdenom.info!from-devjntp Message-ID: <_MOQHMS3p-eMj4BXbLX5xKW2tMQ@jntp> JNTP-Route: nemoweb.net JNTP-DataType: Article Subject: En vingt et un ans de guerre =?UTF-8?Q?priv=C3=A9e=20forcen=C3=A9e=2C=20v?= =?UTF-8?Q?oil=C3=A0=20tout=20ce=20qu=27il=20a=20retenu=20!=20Rien=20de=20?= =?UTF-8?Q?rien=2E?= References: <vf9ogd$qot$1@rasp.pasdenom.info> <dUvWig6vHBh4Oe0lLmoBXo_zpaU@jntp> <vfbq40$m32$1@rasp.pasdenom.info> <URYZuBU965dszGGGvxu7tlS8JjQ@jntp> <cDazc_UAwABXW2DyRHs8YztmyNg@jntp> Newsgroups: fr.sci.physique JNTP-HashClient: R639m-EN-SptXFCBBE-fCvQIv0k JNTP-ThreadID: vf9ogd$qot$1@rasp.pasdenom.info JNTP-Uri: https://www.nemoweb.net/?DataID=_MOQHMS3p-eMj4BXbLX5xKW2tMQ@jntp Supersedes: <fRfL6S-sv-mi9B0sF54QlEOqsHM@jntp> User-Agent: Nemo/1.0 JNTP-OriginServer: nemoweb.net Date: Thu, 24 Oct 24 18:16:05 +0000 Organization: Nemoweb JNTP-Browser: Mozilla/5.0 (X11; Ubuntu; Linux x86_64; rv:131.0) Gecko/20100101 Firefox/131.0 Injection-Info: nemoweb.net; posting-host="8a0233ee6e6a709f29713e8f897284bd28371148"; logging-data="2024-10-24T18:16:05Z/9073319"; posting-account="34@nemoweb.net"; mail-complaints-to="julien.arlandis@gmail.com" JNTP-ProtocolVersion: 0.21.1 JNTP-Server: PhpNemoServer/0.94.5 MIME-Version: 1.0 Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed Content-Transfer-Encoding: 8bit X-JNTP-JsonNewsGateway: 0.96 From: =?UTF-8?Q?JC=5FLavau?= <jacques.lavau@free.fr> Bytes: 9350 Lines: 129 Le 24/10/2024 à 09:12, Python a écrit : > Le 24/10/2024 à 01:01, JC_Lavau a écrit : >> Le 23/10/2024 à 23:33, "Sh. Mandrake" a écrit : >>> Le 23/10/2024 22:48:01 à JC_Lavau a wroté : >>>> Le 23/10/2024 à 04:54, "Sh. Mandrake" a écrit : >>>>> Bonjour, >>>>> >>>>> Si la lumière n'est pas constituée de grains de lumière (photons) comme >>>>> on l'a longtemps cru, comment expliquer que les rayons de lumière soient >>>>> déviés à l'approche d'un corps suffisamment massif ? >>>> >>>> Je subodore que la flamewar qui a suivi s'éloigne quelque peu de la >>>> question posée. >>>> Et largement aussi de la réponse. >>> >>> C'est bien possible. Je ne pensais pas déclencher une telle tempête dans >>> un verre d'eau. Si quelqu'un pouvait me donner une réponse clair, je lui >>> en saurais gré. >> >> Oui, le cadre conceptuel indispensable est celui de la Relativité Générale : >> les modifications de l'espace-temps par les corps massifs. Autour d'eux, >> l'espace-temps n'est plus euclidien mais courbé, riemannien. >> >> Toutefois en 1916, Albert Einstein ne disposait pas de toutes les informations >> indispensables sur les photons. Les deux guerroyeurs non plus n'en disposent >> toujours pas, mais eux n'ont pas d'excuses en 2024. >> >> En 1916, Einstein croyait pour de bon que les photons fussent ponctuels et >> granulaires. Il ignorait tout de leurs étendues possibles selon les cas. En >> revanche, en 1916 il démontrait ce qui dérange beaucoup les vainqueurs de 1927, >> toujours hégémoniques de nos jours : chaque photon est parfaitement directionnel, >> et selon sa fréquence %nu ou ν, transfère toujours la quantité de mouvement >> νh/c. >> >> On ne connaissait pas le radar en 1916, et tous ignoraient tout de la >> directivité des antennes. Comment réaliser cette parfaite directivité avec une >> antenne aussi dérisoire qu'un atome, des millions de fois plus petite que la >> longueur d'onde ? Définitivement impossible. >> >> Cela ne s'arrange que dans le cadre de la microphysique subquantique >> TRANSACTIONNELLE : la directivité prouvée par Einstein en 1916 est intrinsèque >> à la transaction réussie entre un absorbeur et un émetteur. >> >> Définition : >> >> Tout photon a un absorbeur. >> >> Toute onde individuelle a un émetteur et un absorbeur. >> >> Dans les cas où l'un au moins de l'émetteur ou de l'absorbeur est tenu par des >> règles de résonance « quantiques » (dépendantes du quantum de Planck >> h, via l'équation d'onde de matière de Schrödinger et ses successeurs >> l'équation de Pauli et surtout l'équation d'onde électronique de Dirac, 1928) >> pour passer d'un état stationnaire à un autre état stationnaire, alors un photon >> est une transaction réussie entre trois partenaires : un émetteur, un absorbeur, >> et l'espace qui les sépare ou les milieux transparents ou semi-transparents qui >> les séparent, qui transfère par des moyens électromagnétiques un quantum de >> bouclage h, et une impulsion-énergie dont la valeur dépend des repères >> respectifs de l'émetteur et de l'absorbeur (une valeur pour chacun). >> >> Limites de la définition : on ne sait pas quantiser l'accélération d'un >> électron par un champ électrique ni un champ magnétique. Échappent donc au >> sous-domaine quantique l'accélération d'un électron dans un tube à vide, dans >> un tube cathodique ou dans un microscope électronique, dans un accélérateur >> linéaire ou circulaire, le rayonnement synchrotron, le rayonnement de freinage ou >> « Bremsstrahlung » : absence d'états stationnaires à fréquence >> définie avant/après. Dans le cas où les conditions aux limites sont quantiques, >> l'impulsion (quantité de mouvement) transférée est hν/c dans le repère où la >> fréquence ν est considérée. >> >> Quelques complications aussi : existence de transactions à cinq partenaires au >> lieu de trois. >> >> Corollaire : dès l'instant où l'on tolère que les absorbeurs existent, pfuitt >> ! Plus aucun besoin de s'hypnotiser sur les mythes de >> fonction-d'onde-se-diluant-partout-à-la-fois ni de mystérieux >> « collapse » ou « effondrement-de-la-fonction-d'onde ». Ces >> mythes qui occupent les Göttingen-copenhaguistes durant des centaines d'heures >> partent directement dans les poubelles de l'Histoire. >> >> >> Bon alors, "grand" de combien, un seul photon ? ça dépend énormément... >> >> Ordres de grandeurs relatifs des longueurs d'ondes et des diamètres des apex ? >> Cas du rayonnement Mössbauer du fer 57 : λ = 86,1 pm = 86 100 fm. Or le >> diamètre connu de ce noyau est de l'ordre de 10 fm. D'où un ratio de 1 à 9 000 >> environ du diamètre d'apex émetteur ou absorbeur à la longueur d'onde du photon >> transmis. Or vu la définition ultra-fine en fréquence de ce photon, cela implique >> quelques dix milliards à cent milliards d'oscillations de noyau entre l'état >> final et l'état initial pour émettre tout un photon, ou le recevoir tout entier. >> >> On peut recommencer le calcul pour telle raie jaune du sodium, et comparer au >> diamètre connu du sodium dans les états concernés, ou pour la raie d'absorption >> sélective du monoxyde de carbone à 65,05 Terahertz : 4,608 µm / 0,47 nm ≈ 10 >> 000, à la précision près de ce diamètre de la molécule CO. On retombe bien sur >> le même ordre de grandeur du ratio [longueur d'onde / diamètre d'apex]. >> >> La question suivante est de comparer cette longueur d'onde au trajet optique >> total. Cas sévère du détecteur de monoxyde de carbone, avec environ 23 cm de >> trajet optique total = 50 000 longueurs d'onde. Or dans un canal-fuseau de Fermat >> entre émetteur et absorbeur, on prétend ne pas dépasser un quart de longueur >> d'onde d'excédent de trajet, soit un sur deux cent mille. En lumière visible, on >> serait dans les 500 000 longueurs d'onde pour le même trajet optique. >> >> Je suis en train de refaire le calcul géométrique de la largeur d'un >> canal-fuseau de Fermat, donc tu n'auras pas ici son ordre de grandeur selon la >> distance et la longueur d'onde. Disons que ça varie comme la racine carrée de la >> longueur du trajet, c'est donc déjà astronomique. Il y a bien un haut et un bas >> à proximité d'un astre lourd ; il y a bien un haut des fronts d'onde et un bas >> des fronts d'onde, pour chaque front d'onde de chaque photon. > > "re"-faire le calcul laisse entendre que tu l'aurais déjà fait par le passé. > Curieux qu'il n'y en ait nulle trace. D'autre part une racine carrée de longueur > dans une formule donnant une longueur ça sent pas très bon niveau dimensionnel > (à moins qu'il n'y en ait une seconde dans un produit, mais laquelle ?) et pour > terminer : la déviation prédite par la RG (et confirmée par l'expérience) est > indépendante de la longueur d'onde ce qui invalide à l'avance toute cette > histoire de "haut" et de "bas" de front d'onde parfaitement grotesque. En vingt et un ans de guerre privée forcenée, voilà tout ce qu'il a retenu ! Rien de rien. Il a même commandé mon manuel à Amazon, juste pour en dire le plus de mal possible - sous deux pseudos différents - et s'est vanté de l'avoir renvoyé sans l'ouvrir. -- La science se distingue de tous les autres modes de transmission des connaissances : nous CROYONS que les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des expériences.