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        Tue, 30 Jan 2024 13:05:17 -0800 (PST)
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Subject: =?UTF-8?Q?Il_y_a_139_ans_Johann_Jakob_Balmer_publia_son_=C3=A9quat?=
	=?UTF-8?Q?ion_g=C3=A9niale=2C_=28correcte_mais_fausse=29_pour_calculer_les_longu?=
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	=?UTF-8?Q?0_janvier_1885_Deuxi=C3=A8me_r=C3=A9volution_quantique=2E?=
From: Yanick Toutain <yanicktoutain@gmail.com>
Injection-Date: Tue, 30 Jan 2024 21:05:17 +0000
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Bytes: 10734
Lines: 194

"Pour diverses raisons, il me semble probable
 que les quatre coefficients que nous venons
de mentionner appartiennent =C3=A0 deux lignes,
de sorte que la deuxi=C3=A8me ligne reprend
 les termes de la premi=C3=A8re ligne ; et j'en viens donc =C3=A0 pr=C3=A9s=
enter la formule des coefficients plus g=C3=A9n=C3=A9ralement comme suit :
m=C2=B2/(m=C2=B2-n=C2=B2)
o=C3=B9 m et n sont toujours des nombres entiers.
Pour n=3D1 vous obtenez les s=C3=A9ries
4/3, 9/8, 16/15,25/24 etc ;
pour n =3D 2 la ligne 9/5 ; 16/12;2/21;
36/32;49/45;64/60;81/77;100/96 etc.=20
Il y a 139 ans Johann Jakob Balmer publia son =C3=A9quation g=C3=A9niale, (=
correcte mais fausse) pour calculer les longueurs d'onde des photons r=C3=
=A9=C3=A9mis par l'atome d'hydrog=C3=A8ne. 30 janvier 1885 deuxi=C3=A8me r=
=C3=A9volution quantique.
https://revolisationactu.blogspot.com/2024/01/il-y-139-ans-johann-jakob-bal=
mer-publia.html
Il faut noter en pr=C3=A9ambule que si Johann Jakob Balmer avait eu la poss=
ibilit=C3=A9 de lire ce texte, il est quasi certain qu'il accepterait de le=
 signer. Lui, ainsi que Isaac Newton, D=C3=A9mocrite, et tous les autres ma=
t=C3=A9rialistes partisans de Pythagore et de la pr=C3=A9sence des nombres =
entiers dans la nature.


Johann Jakob, instituteur convaincu de la th=C3=A8se quantique de Pythagore=
, fut sollicit=C3=A9 par son ami Hagenbach-Bischoff, pour chercher la coh=
=C3=A9rence math=C3=A9matique de quatre sortes de photons.
Il trouva une formule correcte mais fausse.=20

Voici l=E2=80=99erreur de JJ Balmer.
Il =C3=A9crivit l'=C3=A9quation
m=C2=B2/(m=C2=B2-n=C2=B2)=20
au lieu d'=C3=A9crire
m=C2=B2*n=C2=B2/(m=C2=B2-n=C2=B2)

Johann Jakob Balmer n=C3=A9 le 1er mai 1825 =C3=A0 Lausen et mort le 12 mar=
s 1898 =C3=A0 B=C3=A2le =C3=A9tait un physicien et math=C3=A9maticien suiss=
e connu pour avoir =C3=A9tabli la formule de Balmer, c'est-=C3=A0-dire la l=
oi qui permet de relier entre elles les raies spectrales de l'hydrog=C3=A8n=
e dans le domaine visible.


L'erreur de JJ Balmer consista =C3=A0 omettre de multiplier sa fraction par=
 n puissance deux.
Il faut noter ici que lorsque n =3D 1 l'=C3=A9quation reste correcte malgr=
=C3=A9 l'absence de n=C2=B2 au num=C3=A9rateur.
Dans son texte de 1885 on trouve bel et bien les fractions de la s=C3=A9rie=
 de Lyman.
Il faut aussi noter que l'absence de n=C2=B2 au num=C3=A9rateur rend =C3=A9=
videmment fausse la formule quand n =3D 2.

En  effet la formule correcte n=C2=B2 au num=C3=A9rateur donne =C3=A9videmm=
ent un r=C3=A9sultat quatre fois plus grand.


L'absence de n=C2=B2 au num=C3=A9rateur donnait un r=C3=A9sultat quatre foi=
s trop petit.
Mais l'=C3=A9quation (fausse) de Johann Jakob Balmer devenait correcte par =
un proc=C3=A9d=C3=A9 suppl=C3=A9mentaire.
Malgr=C3=A9 sa premi=C3=A8re fraction 9/5 qu'il =C3=A9crit au lieu de la fr=
action (vraie) 36/5, Balmer retombe sur ses pieds en utilisant une constant=
e multiplicative quatre fois plus grande.=20
C'est la raison pour laquelle la formule que Ritz appela "formule de Rydgbe=
rg" contient une constante 4 fois plus petite.
Int=C3=A9grer le n=C2=B2 dans la fraction impliquait de diviser par quatre =
la constante pour obtenir la longueur d'onde correcte.







LA LUCIDITE DE JOHANN JAKOB BALMER
Balmer semble avoir eu des doutes sur sa formule. Et il l'aurait certaineme=
nt modifi=C3=A9e s'il avait eu connaissance des photons correspondant aux a=
utres s=C3=A9ries. N'avoir eu que 4 sortes de photons =C3=A0 sa disposition=
 rend son exploit encore plus grand

"p, 80

Note sur les raies spectrales de l'hydrog=C3=A8ne ; par J.J. Balmer.

(D'apr=C3=A8s les n=C3=A9gociations de la Naturforsch. Ges. =C3=A0 B=C3=A2l=
e, vol. 7, p. 548, communiqu=C3=A9 par l'auteur.)

A partir des mesures de H. W. Vogel et Huggins sur les raies ultraviolettes=
 du spectre de l'hydrog=C3=A8ne, j'ai essay=C3=A9 de trouver une =C3=A9quat=
ion qui exprimerait les longueurs d'onde des diff=C3=A9rentes raies de mani=
=C3=A8re satisfaisante ; j'ai =C3=A9t=C3=A9 encourag=C3=A9 =C3=A0 le faire =
par les encouragements du Prof. E. Hagenbach. Les mesures tr=C3=A8s pr=C3=
=A9cises d'Angstrom sur les quatre raies de l'hydrog=C3=A8ne ont permis de =
trouver un facteur commun pour leurs longueurs d'onde qui avait les relatio=
ns num=C3=A9riques les plus simples possibles avec les longueurs d'onde.


Je suis donc progressivement parvenu =C3=A0 une formule qui peut =C3=AAtre =
utilis=C3=A9e au moins pour ces quatre raies comme expression d'une loi par=
 laquelle leurs longueurs d'onde sont repr=C3=A9sent=C3=A9es avec une pr=C3=
=A9cision surprenante.

Le facteur commun =C3=A0 cette formule est d=C3=A9riv=C3=A9 des d=C3=A9term=
inations d'Angstrom :

(h=3D3645,6 mm /10^7)

Ce nombre pourrait =C3=AAtre appel=C3=A9 le nombre de base de l=E2=80=99hyd=
rog=C3=A8ne ; et s'il =C3=A9tait possible de trouver les nombres de base co=
rrespondants de leurs raies spectrales =C3=A9galement pour d'autres =C3=A9l=
=C3=A9ments, alors il serait permis de supposer que certaines relations ont=
 lieu entre ces nombres de base et les poids atomiques correspondants, qui =
peuvent =C3=A0 nouveau =C3=AAtre exprim=C3=A9s par certains fonction.



p, 81

Les longueurs d'onde des quatre premi=C3=A8res raies de l'hydrog=C3=A8ne r=
=C3=A9sultent du fait que le nombre de base h=3D3645,6 est s=C3=A9quentiell=
ement combin=C3=A9 avec les coefficients 9/5 ; 4/3 ; 25/21 et 9/8 sont mult=
ipli=C3=A9s.

Il faut noter que les v=C3=A9ritables fractions sont quatre fois plus grand=
es
Balmer =C3=A9crit donc

 9/5 au lieu de 36/5
4/3 au lieu de 64/12
25/21 au lieu de 100/21
9/8 au lieu de 144/32
Apparemment, ces quatre coefficients ne forment pas une s=C3=A9rie r=C3=A9g=
uli=C3=A8re ; Mais d=C3=A8s que l'on agrandit le deuxi=C3=A8me et le quatri=
=C3=A8me de quatre, la loi s'=C3=A9tablit et les coefficients re=C3=A7oiven=
t les nombres 3=C2=B2, 4=C2=B2, 5=C2=B2, 6=C2=B2 comme num=C3=A9rateur et u=
n nombre quatre plus petit que le d=C3=A9nominateur.

JJ Balmer a remarqu=C3=A9 que sa s=C3=A9rie est form=C3=A9e de fractions av=
ec des carr=C3=A9s

9/5 puis
16/12 au lieu de 4/3=20
25/21 puis
36/32 au lieu de 9/8
Pour diverses raisons, il me semble probable que les quatre coefficients qu=
e nous venons de mentionner appartiennent =C3=A0 deux lignes, de sorte que =
la deuxi=C3=A8me ligne reprend les termes de la premi=C3=A8re ligne ; et j'=
en viens donc =C3=A0 pr=C3=A9senter la formule des coefficients plus g=C3=
=A9n=C3=A9ralement comme suit :

m=C2=B2/(m=C2=B2-n=C2=B2) o=C3=B9 m et n sont toujours des nombres entiers.

Pour n=3D1 vous obtenez les s=C3=A9ries 4/3, 9/8, 16/15,25/24 etc ; pour n =
=3D 2 la ligne 9/5 ; 16/12;2/21;36/32;49/45;64/60;81/77;100/96 etc. Dans ce=
tte deuxi=C3=A8me rang=C3=A9e, le deuxi=C3=A8me maillon est d=C3=A9j=C3=A0 =
dans la premi=C3=A8re rang=C3=A9e, mais ici sous une forme raccourcie .

On notera que c'est pr=C3=A9cis=C3=A9ment cette erreur qui a amen=C3=A9 Rit=
z =C3=A0 diviser par 4 la constante de Balmer pour finalement l'appeler con=
stante de Rydberg

C'est donc un simple instituteur partisan de Pythagore qui, deux mill=C3=A9=
naires apr=C3=A8s Pythagore et D=C3=A9mocrite, les initiateurs de la Premi=
=C3=A8re R=C3=A9volution quantique, remis la science sur ses rails "entiers=
" et relan=C3=A7a - avant Planck et donc, quinze avant avant l'ann=C3=A9e 1=
900 la Deuxi=C3=A8me R=C3=A9volution quantique=20

Au d=C3=A9but des ann=C3=A9es 1880, Eduard Hagenbach-Bischoff, professeur d=
e math=C3=A9matiques =C3=A0 l'universit=C3=A9 de B=C3=A2le, connaissant la =
passion de Balmer pour les nombres, lui a sugg=C3=A9r=C3=A9 de se pencher s=
ur le probl=C3=A8me. Balmer remarqua que ces nombres forment une suite qui =
converge vers {\displaystyle 3645,6} =C3=85. En divisant la longueur d'onde=
 de chacune des raies par la valeur limite, il a obtenu une nouvelle suite =
de coefficients qui pouvaient s'exprimer sous forme fractionnaire : 9/5, 4/=
3, environ 8/7 et 9/8.=20
 Une question se pose : est-ce que Johann Jakob aurait pu d=C3=A9couvrir la=
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