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Le 02/02/2024 à 08:45, Canta Galet a écrit :
> "Beaucoup cependant espéraient que l'épidémie allait s'arrêter et qu'ils
>   seraient épargnés avec leur famille. En conséquence ils ne se sentaient
>   encore obligés à rien."
> 
> A. Camus.
> 

Michael Shellenberger :
Au nom des écologistes du monde entier, je voudrais m’excuser 
formellement pour la peur climatique que nous avons créée au cours des 
30 dernières années.

Le changement climatique se produit. Ce n’est pas la fin du monde. Ce 
n’est même pas notre problème environnemental le plus grave.

Il peut paraître étrange que je dise tout cela. J’ai milité pour le 
climat pendant 20 ans et été un écologiste pendant 30 ans.

Mais en tant qu’expert en énergie invité par le Congrès à fournir un 
témoignage objectif, et invité par le Groupe d’experts 
intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) à être expert 
examinateur de son prochain rapport d’évaluation, je me sens une 
obligation de demander des excuses pour la façon dont nous les 
écologistes avons trompé le public.
Voici quelques faits que peu de gens savent :

     Les humains ne sont pas à la cause d’une « sixième extinction de 
masse » ;
     L’Amazonie n’est pas « le poumon du monde » ;
     Le changement climatique n’aggrave pas les catastrophes naturelles ;
     Les incendies ont diminué de 25 % dans le monde depuis 2003 ;
     La superficie des terres que nous utilisons pour la viande 
(l’élevage est la plus grande utilisatrice de terres) a diminué d’une 
superficie presque équivalente à celle de l’Alaska ;
     Ce sont l’accumulation de bois et la proximité des habitations des 
forêts, et non le changement climatique, qui expliquent pourquoi il y a 
davantage d’incendies et de plus dangereux, en Australie et en Californie ;
     Les émissions de carbone diminuent dans les pays riches depuis des 
décennies et ont atteint un pic en Grande-Bretagne, en Allemagne et en 
France au milieu des années 1970 ;
     En s’adaptant à la vie en dessous du niveau de la mer, les Pays-Bas 
sont devenus plus riches et non pas plus pauvres ;
     Nous produisons 25 % de nourriture en plus de ce dont nous avons 
besoin et les excédents alimentaires continueront à augmenter à mesure 
que le monde deviendra plus chaud ;
     La perte d’habitat et l’abattage direct d’animaux sauvages sont des 
menaces plus grandes pour les espèces que le changement climatique ;
     Le bois est bien plus dangereux pour les gens et la faune que les 
combustibles fossiles ;
     La prévention des futures pandémies nécessite plus d’agriculture « 
industrielle » et non pas l’inverse.

Je sais que les faits ci-dessus paraîtront comme du « négationnisme 
climatique » à beaucoup de gens. Mais cela montre simplement la 
puissance de l’alarmisme climatique.

En réalité, les faits ci-dessus proviennent des meilleures études 
scientifiques disponibles, y compris celles conduites ou acceptées par 
le GIEC, la FAO  (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et 
l’agriculture ), l’Union internationale pour la conservation de la 
nature (UICN) et d’autres organismes scientifiques de premier plan.

https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2023/11/06/mythes-et-legendes-ecologistes/

Depuis 50 ans l’effondrement écologique est pour demain. Curieusement 
pourtant, ces 50 dernières années ont vu l’humanité progresser en 
nombre, en espérance et en qualité de vie à des niveaux inédits dans 
l’histoire. Comment un décalage aussi énorme entre le réel et sa 
perception a-t-il pu s’installer ?

Loin d’être l’expression d’un consensus scientifique, les totems que 
sont la « crise climatique » ou la « sixième extinction des espèces » 
émanent d’un cartel de recherche qui interdit la dissidence et ne tolère 
pas la nuance. Refusant la discussion, celui-ci a rompu avec la méthode 
scientifique ainsi qu’avec tout projet raisonnable de préservation de 
l’environnement. La science sert désormais d’outil de censure au profit 
d’une idéologie qui, sous couvert de sauver la planète, installe ses 
rituels, ses légendes et ses prescriptions toujours plus exigeantes au 
cœur de notre société.

Mélange de paradis perdu et de fin du monde, la mythologie écologiste 
postmoderne n’a rien d’une vision naïve et bien intentionnée. Derrière 
son sympathique imaginaire de façade se cache en réalité un projet 
totalitaire qui combat l’aspiration même à un monde plus prospère et 
plus libre.

Benoît Rittaud est mathématicien et essayiste.

https://www.editionsartilleur.fr/produit/franccois-gervais-urgence-climatique/

"Ce livre fait la synthèse d’un certain nombre de travaux scientifiques 
internationaux récents et montre que la situation climatique n’est pas 
celle que l’on veut à tout prix nous faire admettre.

Il explique en particulier pourquoi l'accroissement de 0,03 à 0,04 % du 
CO2 dans l'air depuis le début de l'ère industrielle profite grandement 
à la biomasse et aux récoltes. A ce titre, le bénéfice pour l'humanité 
est d’ores et déjà énorme. Par ailleurs, François Gervais utilise les 
mesures récentes pour montrer que la fraction de réchauffement liée aux 
activités humaines est noyée dans la variabilité naturelle. Un phénomène 
attesté par l'évolution imperceptible de sa signature dans l'infrarouge.

Le catastrophisme des modèles virtuels est infondé et l'urgence 
climatique est un leurre. Elle est pourtant source de politiques 
dispendieuses dont certaines n'ont de durable que l'affichage, assorties 
de menaces sur les fleurons industriels nationaux et d'une bulle 
financière qui enfle dangereusement."