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Path: ...!weretis.net!feeder8.news.weretis.net!pasdenom.info!from-devjntp Message-ID: <pe4pgLogFoc-OQ_dfzXpNofXWN4@jntp> JNTP-Route: news2.nemoweb.net JNTP-DataType: Article Subject: Re: De la =?UTF-8?Q?relativit=C3=A9=20des=20distances?= References: <XsQK06WmG5UE8EA9eBhXPf3xb2A@jntp> <u5h9v5$glh$1@shakotay.alphanet.ch> <SZH-Hhc1xwJlLCwcpX6Tw-6dEbU@jntp> <29163660-0dda-4d0d-b53a-4b7119f263b8n@googlegroups.com> <SGNpLQ8tQBDwOb59wMZbJZqk3Es@jntp> <u5o0jb$4h2$3@shakotay.alphanet.ch> <nji4kP_Rq3gVB29WCX0CZUpsSxk@jntp> <89ec2d2e-70ce-4018-953d-175cc3967c69n@googlegroups.com> <6wse9evFvSzbYYTfgbbm_cQHtFM@jntp> <191eae0e-5ea6-48d0-9b3e-96738016acc8n@googlegroups.com> Newsgroups: fr.sci.physique JNTP-HashClient: 6zNUPtt9YVrRnLH4R-DOOcK4XTY JNTP-ThreadID: XsQK06WmG5UE8EA9eBhXPf3xb2A@jntp JNTP-Uri: http://news2.nemoweb.net/?DataID=pe4pgLogFoc-OQ_dfzXpNofXWN4@jntp User-Agent: Nemo/0.999a JNTP-OriginServer: news2.nemoweb.net Date: Wed, 07 Jun 23 16:29:53 +0000 Organization: Nemoweb JNTP-Browser: Mozilla/5.0 (Windows NT 10.0; Win64; x64) AppleWebKit/537.36 (KHTML, like Gecko) Chrome/114.0.0.0 Safari/537.36 Injection-Info: news2.nemoweb.net; posting-host="0fa7f2bd042bb0546b647bc91db6d99a7510975e"; logging-data="2023-06-07T16:29:53Z/7971292"; posting-account="4@news2.nemoweb.net"; mail-complaints-to="newsmaster@news2.nemoweb.net" JNTP-ProtocolVersion: 0.21.1 JNTP-Server: PhpNemoServer/0.94.5 MIME-Version: 1.0 Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed Content-Transfer-Encoding: 8bit X-JNTP-JsonNewsGateway: 0.96 From: Richard Hachel <r.hachel@tiscali.fr> Bytes: 8238 Lines: 172 Le 07/06/2023 à 17:23, Richard Verret a écrit : > Le mercredi 7 juin 2023 à 13:14:08 UTC+2, Richard Hachel a écrit : >> Je disais qu'une contraction dans tous les sens de la brique ouvrait une >> nouvelle absurdité théorique, >> car si la brique se contracte dans tous les sens pour le mur : le mur et >> le trou dans le mur, se contractent aussi dans tous les sens pour la >> brique, et c'est une incohérence manifeste que la brique passera par le >> trou. > Je ne comprends strictement rien à ton histoire de brique. >> Il n'y a pas à s'attarder longtemps là dessus. > Ben si! J’aimerais une explication scientifique plutôt qu’un > gloubi-boulga. Je veux bien ré-expliquer encore une fois, mais ça risque de devenir redondant. Tu me dis que la contraction des longueurs ne se produit pas QUE dans le sens du déplacement, mais dans chacune des trois dimensions de l'objet. Je réponds que si tu penses comme ça, c'est absurde. Prenons une brique et sortons là de son mur, puis accélérons là pour la faire se contracter de façon relativiste (admettons Vo=0.6c). Tu me dis que la brique se contractera dans ses trois dimensions. Je dis que c'est absurde. Pourquoi c'est absurde? Parce que le mur, de son côté, et par rapport à la brique se déplace à 0.6c, et que lui aussi va se contracter dans le référentiel opposé. Dès lors, la brique ne pourra pas passer par le trou du mur. C'est contradictoire. > >> >> Je suis également en désaccord avec sa notion de chronotropie absolue >> >> (selon lui toutes les montres battent à la même vitesse et il n'y a pas >> >> de relativité du temps, il pense que Stella n'a pas 18 ans, et Terrence >> >> n'a pas trente ans). Je pense l'inverse. > Tu as le droit de penser ce que tu veux. Mais tout le monde pense comme ça. C'est ce qu'on appelle la relativité de la chronotropie. Tout le monde est d'accord sur cet effet théorique logique et expérimentalement prouvé. > N’empêche que tous les points d’un même référentiel sont au même temps > à tout instant. 4568° édition, la 4569° est sous presse rotative. Non, TOI tu dis que tous les points d'un même référentiel inertiel sont tous au même instant présent, et que le plan du temps présent y a valeur générale et réciproque à tous les points. Et moi, je dis depuis 40 ans que c'est faux, et je n'ai jamais pu être démenti. >M. Messager ne comprends pas non plus cette phrase. Bien sûr que si, il l'a comprend très bien. Et pas que d'aujourd'hui, il en a déjà fourni les preuves. Seulement, il tente de réfuter par idéologie, ce qu'il comprends très bien intellectuellement mais refuse religieusement. Il a même dit il y a quelque temps qu'il aimerait bien trouver une expérience pour réfuter, mais que ça lui paraissait impossible pour l'instant. > Dis autrement, le temps est le même en tout point d’un même référentiel. > Pour moi c’est évident, aussi ai-je postulé cette évidence. La chronotropie est la même, évidemment, sinon, c'est absurde de facto. Tu ne peux pas dire, cette montre à gauche va battre plus vite que cette montre à droite, ou cette personne sur ce banc va vieillir plus vite que cette autre sur cet autre blanc placé à 3 mètres. Par contre, l'anisotropie est quelque chose qui me parait, à moi, évident. C'est à dire l arealtivité de la simultanéité et l'impossibilité de tapisser un référentiel de montres "absolument" accorder entre elles, puisque le présent absolu n'existe pas. > Les physiciens ont besoin d’un mode opératoire car ils manquent > d’imagination; Einstein l’a fourni par la synchronisation des horloges. > https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Synchronisation_d'Einstein Sa synchronisation est très simple, mais complètement abstraite du monde, c'est à dire hors physique. C'est comme si l'on créait le chiffre Kiki, qui serait un entier naturel placé entre 8 et 9. Et on dirait : un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, kiki, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-kiki, dix-neuf, vingt. Ce serait très rigolo, mais je n'en vois pas l'intérêt dans l'usage naturel des entiers chez la couturière ou le maçon qui compte ses clous. Que peut-on affirmer de plus sinon que 2AB/(tA'-tA)=c ? Cette proposition est vraie pour tous les points du référentiel. Le reste est supposition. Et la supposition générale tA'-tB = tB-tA est donnée comme a priori et sans preuve. Expérimentalement, elle va s'avérer fausse dès qu'on pourra le prouver (en théorie, c'est déjà fait, c'est illogique avec un Langevin bien compris). > Il n’y a pas de logique dans un exercice de pensée, on est dans > l’imaginaire et là tout est possible. Non, tout n'est pas possible dans l'imaginaire. Prenons l'histoire de monsieur Bernard Laroche, on peut imaginer des tas de choses par une expérience de pensée. Mais toutes les expériences de pensée ne sont pas possible. Je ne peux pas dire : Bernard Laroche est peut-être allé voir le vrai Dieu Pur Rê à Nantes, entre 17h17 et 17h50. Car il l'a connu sur usenet (qui n'existait pas) et il a fait le voyage Vosges-Loire-Atlantique en six minutes à introduire dans son planning. C'est une expérience de pensée, mais c'est pas pour autant que ce soit cohérent. Il faut que la pensée soit cohérente. >> Mais là encore personne n'écoute, et je me demande bien pourquoi... > Oui, il serait bon que tu te poses la question. Nan, je plaisantais. Je sais très bien pourquoi. >> De même que si tu poses, pour l'énergie cinétique Ec=Eg-E₀ >> Tu as Ec=mc².[sqrt(1/(1-Vo²/c²) - 1] >> Soit encore selon ta formule : >> Ec=mc².[sqrt(1+Vr²/c²) - 1] >> On pose (1/4)(Vr²/c²)² -> 0 > On ne fait pas ça en maths, donc tout ton calcul n’est pas crédible. On fait ce qu'on veut en maths pour peu qu'on le fasse bien. J'ai le droit de dire si Vr/c -> 0 alors Vr²/c² -> 0 (a fortiori) et (Vr²/c²)² -> 0 et a fortiori (1/4)(Vr²/c²)² -> 0 > On fait un calcul et à la fin on peut poser effectivement sqrt (1 + Vr²/c²) > —> 1 + Vr²/2c² quand Vr —> 0. > On obtient alors Ec —> m Vr²/2, > et Vr = Vo sqrt(1+Vr²/c²) —> Vo. C'est ce que je dis. ========== REMAINDER OF ARTICLE TRUNCATED ==========