Deutsch English Français Italiano |
<skspr7$iga$1@gioia.aioe.org> View for Bookmarking (what is this?) Look up another Usenet article |
Path: ...!news.mixmin.net!aioe.org!/QQ8zQ1S9huMviakJs8SGQ.user.46.165.242.91.POSTED!not-for-mail From: Dobb <rien@battre.com> Newsgroups: fr.soc.politique Subject: Let's go Brandon ! Date: Fri, 22 Oct 2021 00:33:12 +0200 Organization: Aioe.org NNTP Server Message-ID: <skspr7$iga$1@gioia.aioe.org> Mime-Version: 1.0 Content-Type: text/plain; charset=utf-8; format=flowed Content-Transfer-Encoding: 8bit Injection-Info: gioia.aioe.org; logging-data="18954"; posting-host="/QQ8zQ1S9huMviakJs8SGQ.user.gioia.aioe.org"; mail-complaints-to="abuse@aioe.org"; User-Agent: Mozilla/5.0 (Windows NT 10.0; Win64; x64; rv:78.0) Gecko/20100101 Thunderbird/78.14.0 Content-Language: fr X-Mozilla-News-Host: news://news.aioe.org:119 X-Notice: Filtered by postfilter v. 0.9.2 Bytes: 3525 Lines: 64 Le titre "Let's go Brandon" du rapper Loza Alexander est arrivé en tête des chansons les plus téléchargées sur iTunes. https://www.tiktok.com/@lozaalexander/video/7017644195326332166 Une première pour une chanson 100% politique. Pour comprendre la genèse de la chanson, il faut plonger dans le cloaque nauséabond des médias du régime, avec ses petites journalopes lécheuses de Joe-la-loque, qui n'ont pas peur de mentir en public pour tenter de protéger le régime qui les nourrit. Tout avait commencé après une course de stock-car en Alabama, qu'un certain Brandon Brown - devenu une icône mondialement célèbre depuis - avait remportée. Une péripathéticienne de seconde classe de la chaine putassière NBC, une certaine Kelli Stavast, était chargée de l'interviewer. La journalope a cependant commis une erreur de débutante : elle a interviewé Brandon Brown en direct dans un endroit public. Or, aux USA, il n'y a plus moyen de se déplacer - surtout avec un micro - sans qu'une foule se rassemble spontanément pour crier "Fuck Joe Biden", à l'attention du déchet humain de la Maison Blanche. La cote de popularité du crétin qui a réussi à transformer les USA, en moins d'un an, en un remake de l'Union Soviétique (y compris les longues files devant les magasins vides, vides parce qu'en raison de la dictature sanitaire, le putschiste grabataire a interdit aux non-vaccinés d'y travailler), cette cote de popularité a en effet plongé dans les abîmes. Le nom de la loque est donc scandé à toute occasion, y compris les courses de stock-car en Alabama, précédé du doux "fuck". En arrière-plan de l'interview de Brandon Brown par la journalope de la dictature, on pouvait donc entendre ce slogan peu équivoque. A l'antenne, la journalope a pourtant assuré - en direct - que la foule criait... "let's go Brandon". https://www.youtube.com/watch?v=axcmVFtwSM4 Depuis lors, "let's go Brandon" a envahi les relais de propagande (les ex-réseaux sociaux) de la dictature, en lieu et place de "fuck Biden", qui y est systématiquement censuré. L'Amérique est en train d'expérimenter un mélange d'Union Soviétique après la défaite en Afghanistan (avec les rayons vides des magasins, les interdictions professionnelles, les médias aux bottes et les milices de fonks) et de Chine maoïste (avec les milices woke et les destructeurs de statues dans le rôle des gardes rouges). En attendant la chute du putschiste et de l'Etat profond, il est donc tout à fait naturel que la population utilise des codes propres aux dictatures. Dobb