Deutsch   English   Français   Italiano  
<t4oauf$5t1$1@gioia.aioe.org>

View for Bookmarking (what is this?)
Look up another Usenet article

Path: ...!eternal-september.org!reader02.eternal-september.org!aioe.org!6v6s2ryj0//gqKKhn4LJ7A.user.46.165.242.91.POSTED!not-for-mail
From: Goldo raque <invalid@invalid.invalid>
Newsgroups: fr.comp.os.linux.configuration
Subject: =?UTF-8?Q?Re=3a_Recherche_logiciel_de_comptabilit=c3=a9_en_partie_d?=
 =?UTF-8?Q?ouble_simple_et_gratuit?=
Date: Mon, 2 May 2022 12:14:38 +0200
Organization: Aioe.org NNTP Server
Message-ID: <t4oauf$5t1$1@gioia.aioe.org>
References: <t4is24$jhp$1@dont-email.me> <t4j19m$14bd$1@gioia.aioe.org>
 <t4jk2e$a4p$1@dont-email.me> <t4kpa7$1qh5$1@gioia.aioe.org>
 <626e3cdc$0$26319$426a34cc@news.free.fr> <t4lk5f$17mn$1@gioia.aioe.org>
 <626e88b2$0$22088$426a74cc@news.free.fr> <t4m9se$l5p$1@gioia.aioe.org>
 <626ebaf5$0$22070$426a74cc@news.free.fr> <t4nts3$diq$1@gioia.aioe.org>
 <t4nv3s$ij6$1@shakotay.alphanet.ch> <t4o05p$19k1$1@gioia.aioe.org>
 <t4o5ts$eip$1@shakotay.alphanet.ch>
Mime-Version: 1.0
Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed
Content-Transfer-Encoding: 8bit
Injection-Info: gioia.aioe.org; logging-data="6049"; posting-host="6v6s2ryj0//gqKKhn4LJ7A.user.gioia.aioe.org"; mail-complaints-to="abuse@aioe.org";
User-Agent: Mozilla/5.0 (X11; Linux x86_64; rv:91.0) Gecko/20100101
 Thunderbird/91.8.1
Content-Language: fr
X-Notice: Filtered by postfilter v. 0.9.2
Bytes: 3364
Lines: 36

Le 02/05/2022 à 10:49, Marc SCHAEFER a écrit :
> Matthieu <matthieu@x.localhost> wrote:
>> Ce n'est pas exact. Un logiciel libre (par ex. MIT) ne peut pas être
>> "propriétarisé", puisqu'il est libre - justement. Ce qui peut être
>> propriétaire, ce sont les éventuels ajouts de tiers. En tant que
>> développeur, j'estime que cela ne me regarde pas qui donne quelle
>> licence à son code. Le mien reste ouvert en tout les cas, si quelqu'un
>> y ajoute une fonctionnalité et ne souhaite pas en publier le code,
>> libre à lui. C'est aussi cela, la liberté.
> 
> Cela signifie aussi que si une entreprise vit du service construit
> autour d'un logiciel libre, un concurrent peut arriver, investir
> fortement pour améliorer le logiciel, et la 1ère entreprise risque de
> perdre son marché, et l'utilisateur final perdre l'avantage d'avoir
> accès au code source des améliorations.
> 
> La GPLv3 (voire l'A-GPL) et toutes les licences véritablement copyleft
> évitent ce cas de figure: la nouvelle entreprise peut gagner des parts
> de marché, mais l'entreprise initiale bénéficie des améliorations, comme
> l'utilisateur final d'ailleurs.
> 
> De même en cas de faillite de l'entreprise faisant la version améliorée,
> on peut continuer à maintenir le logiciel bien amélioré.
> 
> Si les extensions ont été propriétarisées, on tombe dans pas mal de
> soucis assez vite en cas de monopole ou de faillite.
> 
> Après, ce qui est important est de réfléchir à sa position (développeur
> original, développeur contributeur, intégrateur, utilisateur final). Ils
> n'ont pas les mêmes buts et donc pas le même besoin de droits et de
> libertés.

schaefer est banquier - comptable, il sait compter le fric. Mais vous ne 
nous apprnenez rien, que des banalités sur les principes connus et qui 
coulent de source, monsieur fontaine.
--