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From: jmt34 <jmtouran@club-internet.fr>
Newsgroups: fr.rec.arts.litterature
Subject: Re: Acabi Acaba...
Date: Sat, 17 Sep 2022 18:18:27 +0200
Organization: Aioe.org NNTP Server
Message-ID: <tg4s0j$efv$1@gioia.aioe.org>
References: <tepfuj$1tct$1@gioia.aioe.org>
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Content-Language: fr
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Le 17/09/2022 à 18:04, Kenzia Lombardi a écrit :
> Le samedi 17 septembre 2022 à 10:45:29 UTC+2, jmt34 a écrit :
>> Le 16/09/2022 à 17:45, Kenzia Lombardi a écrit :
>>> Le jeudi 1 septembre 2022 à 07:28:54 UTC+2, jmt34 a écrit :
>>>> ...tu m'as vu, tu me vois plus....
>>>> FRAL reste un mystère : des mois sans rien, des jours où quelqu'un fait
>>>> toc toc...
>>>> On évoque un livre...tout le monde fuit ! amusant...
> 
>>> tsst...on ne touche pas à Madame Lacoste
> 
>> oups...Pardon...c'est que je ne la connais pas vraiment non plus...
> 
> A mon tour de faire « oups » si vous me le permettez. Je me suis aventurée un peu avec vous. Je faisais la révérence à une blague. J’étais pensive qu’elle était connue de tous les français lettrés. Un ami, alligator à ses heures et caïman noir le reste du temps, m’avait un jour avoué ne la connaitre, come diciamo, ni des lèvres ni des dents. E il était aussitôt parti dans un rire démesuré et terribile. Ce jour-là, je l’avais échappée dalla bocca
> Immaginare la littérature come la forêt amazonienne, tarabiscotée, étouffante, aspergeante o sèche ma voluptueuse, torride ma crudele, abbandonato ma d’une richesse infinita.
> Immaginare que Fral soit come une mare perdue au fin fond de cette immensité verdoyante. Et que sia une mare entourée d’alligators, tous endormis, en apparence, e leurs grandes gueules refermées come il bagaglio delle donne borghesi di Milano.
> Immaginare maintenant que Janis, une personne de grande culture e credo de caractère, se décidât après quelques décennies à une baignade inopinée dans cette paisible mare…


Ah bah, Janis, elle a beaucoup de courage !
Sûr qu'il y a plein d'alligators qui guettent...FRAL est bien comme la 
forêt amazonnienne... On voit mal la canopée, faute de hauteur, et on ne 
sait rien des racines...
Tout un monde !