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Subject: Re: Insaisissable photon (et pour cause...)
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Le 10/05/2022 à 09:00, Quarkim a écrit :
> Mon esprit sombre dans un tourbillon quand j’essaye de saisir un photon. Ma 
> question est peut-être con, mais pourquoi la lumière ne peut se déplacer 
> qu’à c? On peut mettre une luciole dans une bouteille et dire regarde ce que 
> j’ai attrapé. Par contre, on ne peut emprisonner un photon dans une bouteille. 
> Aussitôt créé, il s’enfuit comme le lapin d'Alice. Ou alors il est absorbé 
> par la paroi et un autre photon est émis. Et quand il est émis, il passe 
> instantanément de rien à c. Pourquoi il passe directement à c? Encore un truc 
> quantique insaisissable? J’ai beau retourner la question dans ma tête, je ne 
> trouve pas d’explication physique visualisable par mon esprit. Mais puisqu’il 
> est question de retourner quelque chose, j’émets l’idée suivante:
> 
> On sait que la lumière dans son étrange mouvement se comporte comme un infini. 
> c+c=c. infini+infini=infini=1/0. Quand un atome d’hydrogène se désexcite, son 
> électron passe à un niveau d’énergie inférieur avec émission d’un photon 
> qui se déplace instantanément à la vitesse c=1/0 puisque c se comporte comme un 
> infini. Avant son émission, ce photon n’existe pas, ou alors il a une existence 
> potentielle ou virtuelle avec une vitesse inexistante ou nulle =0/1. Donc il 
> semblerait qu’au moment où le photon est émis, il y a un retournement 
> instantané du 0/1 qui devient 1/0. Et là une idée en appelle une autre. Est-ce 
> que le spin d’un électron en orbite dans un atome se retourne instantanément 
> quand l'électron passe d’un niveau d’énergie élevé à un niveau bas avec 
> émission d’un photon?

Ce n'est pas un objet.

Regarde où tu trouveras une définition :
https://www.researchgate.net/publication/355916841_27_noxious_and_surreptitious_postulates_are_rejected_by_the_Transactional_Microphysics

1. Les absorbeurs existent. Les « aspects corpusculaires » n’existent 
pas. En microphysique aucune description n’est valide si l’absorbeur 
n’y figure explicitement.En conséquence, une physique fine des 
absorbeurs doit remplacer les slogans hâtifs.

2. L’unité de phase intervient dans la constante de Planck ; 
l’action-par-cycle de Planck n’est pas l’action tout court, 
maupertuisienne.

3. Postulat Broglie-Dirac : Dès qu’une particule a une masse, alors les 
fréquences intrinsèques de Broglie et de Dirac-Schrödinger jouent 
chacune leur rôle. La broglienne mc²/h pour chaque interférence d’un 
quanton avec lui-même, la Dirac-Schrödinger 2mc²/h pour toute 
interaction électromagnétique, par exemple la dispersion Compton.

4. Postulat de Fermat-Fresnel : Pour toute onde individuelle, les trajets 
réels arrivent en phase, éventuellement à un nombre entier de périodes 
près (cela s’appelle alors une interférence). D’où la géométrie 
du fuseau de Fermat entre absorbeur et émetteur. Fuseaux au pluriel en 
cas d’interférence sur le trajet.

5. Tout photon a un absorbeur. Un photon est une transaction réussie 
entre trois partenaires : un émetteur, un absorbeur, et l’espace qui 
les sépare ou les milieux transparents ou semi-transparents qui les 
séparent, qui transfère par des moyens électromagnétiques un quantum 
de bouclage h, et respectivement une impulsion-énergie qui dépend des 
repères respectifs de l’émetteur et de l’absorbeur.
Complication n° 1 : en diffusion Rayleigh, la transaction est à cinq 
partenaires : émetteur, absorbeur, molécule de diazote pinçante et 
virante, et avec recul, et les deux espaces intermédiaires traversés.
Complication n° 2 : Une expérience de type Aspect est aussi à cinq 
partenaires, avec deux absorbeurs pour un seul émetteur de deux photons 
complémentaires.
Complication n° 3 : C’est la différence entre deux états 
stationnaires de l’émetteur ou de l’absorbeur (ou des deux) qui fixe 
la transaction photonique à un quantum de bouclage de Planck, h, via 
l’équation de Schrödinger ; mais si ni l’émetteur ni l’absorbeur 
ne sont tenus par des états stationnaires, par exemple l’électron dans 
un synchrotron côté émission, alors quel miracle peut bien obtenir la 
seconde quantification traditionnellement postulée par l’église 
officielle ? Nous n’avons pas la réponse.
Côté absorbeur : accélérer un électron par une ddp, que ce soit dans 
un tube cathodique ou un accélérateur linéaire, on ne sait pas 
quantiser l’onde électromagnétique absorbée : zéro états 
stationnaires avant/après de l’électron accéléré.

6. Les propriétés des foules d’ondes individuelles découlent des 
propriétés des ondes individuelles, et pas l’inverse.

7. La flèche du macro-temps ne découle que de la thermodynamique, et pas 
des lois d’évolution de la microphysique.

8. Le dieu d’Isaac Newton, chargé de tout voir simultanément, 
n’existe pas. Le temps d’Isaac Newton, supposé paramètre universel 
et ubiquiste, n’existe pas non plus. Tout au plus des macro-temps 
locaux, simples émergences statistiques locales. On distingue les 
macro-temps des macro-systèmes tels que le laboratoire, des micro-temps 
dans lesquels s’inscrivent tous les tâtonnements d’ondes brogliennes 
qui vont aboutir à des transactions réussies.

9. Principe de rétrosymétrie de Kirchhoff. Dans notre faible gravité, 
loin d’un horizon de Schwarzschild, tout trajet optique réel est 
réversible.

10. Non, il est impossible d’isoler un système quantique, comme on 
isole ses équations au tableau noir : il est impossible d’écranter le 
bruit de fond de Broglie-Dirac. Il est impossible de prédire quelle 
transaction va surgir de ce clapotis ni quand. Les fréquences impliquées 
sont inaccessibles à l’échelle humaine ; le théorème de la variété 
requise d’Ashby est là pour ruiner tous nos fantasmes d’omniscience, 
et de plus les innombrables micro-temps en œuvre sont bidirectionnels, 
orthochrones comme rétrochrones - Dirac oblige.

11. Plus le principe moral : on s’interdit de censurer les résultats 
expérimentaux qui embarrassent la doctrine au pouvoir.Il est incorrect et 
contraire à la déontologie scientifique de dissimuler aux étudiants 
tant de faits expérimentaux qui embarrassent les copenhaguistes : toutes 
les absorptions spectrales, toutes les interférences telles que couches 
anti-reflets, lames quart d’onde, couleurs interférentielles, effets 
Goos-Hänchen en polarisation plane et Imbert-Fédorov en polarisation 
circulaire, preuves de la largeur non négligeable de chaque photon. 
Vaste liste. 
Ils vous ont caché la transparence résonnante Ramsauer-Townsend, 
strictement ondulatoire, et établie depuis 1921. Si l’électron est 
toujours ondulatoire, comment vont-ils conserver leur mystérieux dualisme 
onde-corpuscule qui impressionne tant les foules ébaubies ? Ainsi que de 
nombreux autres résultats expérimentaux quotidiens mais incompatibles 
avec l’idéation corpusculaire des Göttingen-copenhaguistes. Il y a une 
nette économie de postulats, et une grosse économie de concepts.
Les propriétés de la transformation de Fourier sont simplement 
héritées, ne sont donc pas érigées comme quelque nouveau principe.Les 
concepts magiques de « superposition d’états (corpusculaires), 
intrication (d’états théoriques corpusculaires), measurement, 
psychisme et conscience de l’observateur », hé bien on s’en moque : 
Sire, je n’avais pas besoin de cette hypothèse.