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From: PaulAubrin <paul.aubrin@invalid.org>
Newsgroups: fr.soc.environnement
Subject: =?UTF-8?Q?Re=3a_La_Chine_confront=c3=a9e_=c3=a0_une_recrudescence_d?=
 =?UTF-8?Q?es_temp=c3=aates_de_sable?=
Date: Mon, 24 Apr 2023 18:05:26 +0200
Organization: A noiseless patient Spider
Lines: 257
Message-ID: <u269c6$db69$4@dont-email.me>
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Le 24/04/2023 à 15:56, Perplexity a écrit :
> Par exemple, certains humoristes peuvent se moquer de la crise 
> environnementale ou minimiser son importance, ce qui peut être offensant 
> pour les personnes qui se soucient de l'environnement.

Si ne voulez pas être moqué pour vous être fait rouler par les mensonges 
écologistes, consultez les points de vue des gens qui ne les croient pas 
et évaluez la validité des arguments des uns et des autres, et surtout, 
souvenez vous qu'en sciences, ce n'est pas l'expert en tant que tel qui 
fait foi, mais le caractère logique et la base empirique de ses arguments.

Pour prendre enfin connaissance d'un point de vue contradictoire, je 
vous conseille ces "excuses" écrite par un militant environnementaliste 
sincère.
NB : Il a écrit un livre, traduit en français, où il fournit des détails 
et ses sources.

Au nom des écologistes du monde entier, je voudrais m’excuser 
formellement pour la peur climatique que nous avons créée au cours des 
30 dernières années.

Le changement climatique se produit. Ce n’est pas la fin du monde. Ce 
n’est même pas notre problème environnemental le plus grave.

Il peut paraître étrange que je dise tout cela. J’ai milité pour le 
climat pendant 20 ans et été un écologiste pendant 30 ans.

Mais en tant qu’expert en énergie invité par le Congrès à fournir un 
témoignage objectif, et invité par le Groupe d’experts 
intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) à être expert 
examinateur de son prochain rapport d’évaluation, je me sens une 
obligation de demander des excuses pour la façon dont nous les 
écologistes avons trompé le public.
Voici quelques faits que peu de gens savent :

     Les humains ne sont pas à la cause d’une « sixième extinction de 
masse » ;
     L’Amazonie n’est pas « le poumon du monde » ;
     Le changement climatique n’aggrave pas les catastrophes naturelles ;
     Les incendies ont diminué de 25 % dans le monde depuis 2003 ;
     La superficie des terres que nous utilisons pour la viande 
(l’élevage est la plus grande utilisatrice de terres) a diminué d’une 
superficie presque équivalente à celle de l’Alaska ;
     Ce sont l’accumulation de bois et la proximité des habitations des 
forêts, et non le changement climatique, qui expliquent pourquoi il y a 
davantage d’incendies et de plus dangereux, en Australie et en Californie ;
     Les émissions de carbone diminuent dans les pays riches depuis des 
décennies et ont atteint un pic en Grande-Bretagne, en Allemagne et en 
France au milieu des années 1970 ;
     En s’adaptant à la vie en dessous du niveau de la mer, les Pays-Bas 
sont devenus plus riches et non pas plus pauvres ;
     Nous produisons 25 % de nourriture en plus de ce dont nous avons 
besoin et les excédents alimentaires continueront à augmenter à mesure 
que le monde deviendra plus chaud ;
     La perte d’habitat et l’abattage direct d’animaux sauvages sont des 
menaces plus grandes pour les espèces que le changement climatique ;
     Le bois est bien plus dangereux pour les gens et la faune que les 
combustibles fossiles ;
     La prévention des futures pandémies nécessite plus d’agriculture « 
industrielle » et non pas l’inverse.

Je sais que les faits ci-dessus paraîtront comme du « négationnisme 
climatique » à beaucoup de gens. Mais cela montre simplement la 
puissance de l’alarmisme climatique.

En réalité, les faits ci-dessus proviennent des meilleures études 
scientifiques disponibles, y compris celles conduites ou acceptées par 
le GIEC, la FAO  (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et 
l’agriculture ), l’Union internationale pour la conservation de la 
nature (UICN) et d’autres organismes scientifiques de premier plan.

Certaines personnes en lisant ceci imagineront que je suis une sorte 
d’anti-environnementaliste de droite. Je ne le suis pas. À 17 ans, j’ai 
vécu au Nicaragua pour montrer ma solidarité avec la révolution 
socialiste sandiniste. À 23 ans, j’ai recueilli des fonds destinés à des 
coopératives de femmes guatémaltèques. Dans les 1ères années de ma 
vingtaine, j’ai vécu dans la semi-Amazonie pour y faire des recherches 
avec de petits agriculteurs luttant contre l’invasion de leurs terres. À 
26 ans, j’ai contribué à faire connaître les mauvaises conditions de 
travail dans les usines Nike en Asie.

Je suis devenu un écologiste à 16 ans quand j’ai lancé une collecte de 
fonds pour Rainforest Action Network. À 27 ans, j’ai aidé à sauver les 
derniers séquoias antiques non protégés en Californie. Dans ma 
trentaine, je me suis fait l’avocat des énergies renouvelables et 
contribué avec succès à persuader l’administration Obama d’investir 90 
milliards de dollars dans celles-ci. Au cours des dernières années, j’ai 
aidé à éviter le remplacement de centrales nucléaires par des centrales 
thermiques, évitant ainsi une forte augmentation des émissions.

Jusqu’à l’année dernière, j’ai évité de m’exprimer contre la peur 
climatique. C’est en partie parce que j’étais embarrassé. Après tout, je 
suis aussi coupable d’alarmisme que n’importe quel autre écologiste. 
Pendant des années, j’ai parlé du changement climatique comme d’une 
menace « existentielle » pour la civilisation humaine, et je le 
qualifiant de « crise ».

Mais surtout, j’avais peur. Je suis resté silencieux au sujet de la 
campagne de désinformation climatique parce que je craignais de perdre 
des amis et des crédits. Les rares fois où j’ai eu le courage de 
défendre la science du climat contre ceux qui la dénaturent, j’ai subi 
des conséquences sévères. Et donc je n’ai rien fait alors que mes 
collègues écologistes terrifiaient le public.

Je n’ai même pas réagi lorsque des gens à la maison blanche et beaucoup 
d’autres dans les médias ont essayé de détruire la réputation et la 
carrière d’un scientifique exceptionnel, un homme bien, et ami à moi, 
Roger Pielke, Jr., démocrate progressiste de longue date et un 
écologiste qui militait pour la réglementation du carbone. Pourquoi 
ont-ils fait ça ? Parce que ses recherches prouvaient que les 
catastrophes naturelles ne s’aggravaient pas.
Mais l’année dernière, les choses ont basculé.

Alexandrie Ocasio-Cortez a déclaré : « Ce sera la fin du monde dans 
douze ans si  nous ne nous attaquons pas au changement climatique. » Le 
groupe environnemental le plus en vue de Grande-Bretagne a affirmé que « 
le changement climatique tue les enfants ».

Le journaliste vert le plus influent du monde, Bill McKibben, a qualifié 
le changement climatique de « plus grand défi auquel les humains ont 
jamais été confrontés » et a déclaré qu’il « anéantirait les 
civilisations ».

Les journalistes « mainstream » ont rapporté, à plusieurs reprises, que 
l’Amazonie était le « poumon du monde », et que la déforestation avait 
les mêmes effets que l’explosion d’une bombe nucléaire.

En conséquence, la moitié des personnes interrogées dans le monde 
l’année dernière ont déclaré qu’ils pensaient que le changement 
climatique ferait disparaître l’humanité. Et en janvier, un enfant 
britannique sur cinq disait aux sondeurs qu’il faisait des cauchemars à 
cause du changement climatique.

Que vous ayez ou non des enfants, vous devez voir à quel point cette 
situation est mauvaise. J’avoue que je devrais être sensibilisé à cette 
question étant le père d’une fille adolescente. Après que nous en ayons 
parlé de façon scientifique, elle s’est sentie rassurée. Mais ses amis 
sont profondément désinformés et donc, naturellement, effrayés.

J’ai donc décidé que je devais m’exprimer. Je savais que l’écriture de 
quelques articles ne suffiraient pas. Il fallait un livre pour exposer 
toutes les preuves.

Et ainsi mes excuses formelles pour avoir répandu la crainte ont pris la 
forme d’un nouveau livre, « l’apocalypse jamais : pourquoi l’alarmisme 
environnemental nous fait du mal à tous ».

Il est basé sur deux décennies de recherche et trois décennies 
d’activisme environnemental. Avec 400 pages, dont 100 de notes de fin, 
Apocalypse Never couvre le changement climatique, la déforestation, les 
déchets plastiques, l’extinction des espèces, l’industrialisation, la 
viande, l’énergie nucléaire et les énergies renouvelables.
Quelques faits saillants du livre :

     Les usines et l’agriculture moderne sont les clés pour la 
libération humaine et le progrès environnemental ;
     Le plus important pour sauver l’environnement est de produire plus 
de nourriture, en particulier de la viande, sur moins de terres ;
     Le plus important pour réduire la pollution atmosphérique et les 
émissions de carbone est de passer du bois au charbon, puis au pétrole 
et au gaz naturel et enfin à l’uranium ;
     100 % d’énergies renouvelables nécessiteraient d’augmenter le 
nombre de terres utilisées pour l’énergie de 0,5 % à 50 % ;
     Nous devrions avoir des villes, des fermes et les centrales 
électriques plus denses en énergie, et non pas le contraire ;
     Les végétariens réduisent leur trace carbone de de moins de 4% ;
     Greenpeace n’a pas sauvé les baleines ; passer de l’huile de 
baleine au pétrole et à l’huile de palme en sauve ;
     Le bœuf « en liberté » aurait besoin de 20 fois plus de terres et 
produirait 300 % plus d’émissions en plus ;
     Le dogmatisme de Greenpeace a aggravé la fragmentation forestière 
de l’Amazonie ;
========== REMAINDER OF ARTICLE TRUNCATED ==========