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From: PaulAubrin <paul.aubrin@invalid.org>
Newsgroups: fr.soc.environnement
Subject: =?UTF-8?Q?Re=3a_Le_Co2_qui_augmente_dans_l=27atmosph=c3=a8re_provie?=
 =?UTF-8?Q?nt_bien_d=27une_combustion=2e?=
Date: Fri, 30 Jun 2023 10:45:10 +0200
Organization: A noiseless patient Spider
Lines: 37
Message-ID: <u7m4mn$2gf2e$1@dont-email.me>
References: <64d3f304-dd58-4339-950f-8878a21b15afn@googlegroups.com>
 <u619d3$2834a$3@dont-email.me>
 <e393e81f-05aa-44a3-94c9-211c938e71c0n@googlegroups.com>
MIME-Version: 1.0
Content-Type: text/plain; charset=UTF-8; format=flowed
Content-Transfer-Encoding: 8bit
Injection-Date: Fri, 30 Jun 2023 08:45:11 -0000 (UTC)
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In-Reply-To: <e393e81f-05aa-44a3-94c9-211c938e71c0n@googlegroups.com>
Bytes: 3664

Le 29/06/2023 à 23:47, Canta Galet a écrit :
>> https://web.archive.org/web/20071013173401/http://www.pensee-unique.fr/001_mwr-083-10-0225.pdf  
>>
>> résumé (traduit) :
>> La recherche des causes de l'augmentation des températures dans
>> certaines zones géographiques au cours du vingtième siècle a suscité un
>> intérêt pour la quantité de dioxyde de carbone atmosphérique (CO2). Si
>> le dioxyde de carbone ajouté par la combustion des combustibles fossiles
>> reste une augmentation nette, tout effet de changement de température dû
>> à sa présence en tant que constituant mineur de l'atmosphère devrait
>> être cumulatif au fur et à mesure que la quantité augmente.
>>
>> Dans cet article, les connaissances physiques sur le GO2 atmosphérique
>> sont examinées et les observations disponibles des dix-neuvième et
>> vingtième siècles sur la concentration atmosphérique de COa sont
>> résumées afin de déterminer dans quelle mesure elles corroborent les
>> affirmations selon lesquelles la quantité de COa atmosphérique a
>> augmenté depuis le dix-neuvième siècle. Compte tenu de l'incertitude des
>> connaissances physiques et de l'analyse statistique, il est conclu que
>> la question de l'évolution de la concentration atmosphérique de gaz
>> carbonique reste ouverte.
> Twila Moon , chercheuse scientifique, Université du Colorado, Boulder :
> En fait, la chimie et la physique de base du changement climatique et de l'effet de serre sont bien comprises depuis plus d'un siècle.

Cette dame se trompe, c'est facile à montrer : L'évaluation de la 
"sensibilité climatique" est toujours aussi entachée d'incertitudes 
(entre 1,5 et 6 °C, un plage de 1 à 4 !) aujourd'hui qu'à l'époque 
d'Arrhénius. Les "modèles" climatiques CMIP, qui servent à sa 
détermination, donnent des résultats qui diffèrent de 200 à 300% (!) des 
observations.
Vous avez aussi évoqué l'accumulation du CO2 anthropique dans 
l'atmosphère, le modèle de Berne de l'UNFCCC n'explique pas correctement 
les valeurs du ratio 13C/12C observé (Mauna Loa, Barrow...).
Si ce modèle était valide, la teneur en 13C devrait être comprise entre 
-10,5 et -11 pour mille PDB, elle n'est que 8,8. L'hypothèse que vous 
évoquiez dans le titre de votre discussion est donc INVALIDÉE (parce 
qu'elle diverge de la réalité observée).