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From: PaulAubrin <paul.aubrin@invalid.org>
Newsgroups: fr.soc.environnement
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 =?UTF-8?Q?re_pr=C3=A9c=C3=A8dent_les_variations_de_concentration_de_CO2?=
Date: Sun, 15 Oct 2023 21:34:05 +0200
Organization: A noiseless patient Spider
Lines: 24
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Le 15/10/2023 à 17:45, Eric M a écrit :
> Le 15/10/2023 à 17:37, PaulAubrin a écrit :
> 
>> En revanche, on peut noter qu'aucun modèles climatique n'avait prévu 
>> le pic de température de cette année
> 
> "Qui aurait pu prévoir", vous devenez Macroniste avec l'âge ? :)

Aucun "modèle" ne l'a prévu. Donc les hypothèses à la base de ces 
modèles n'incluent pas la cause (ou les causes), visiblement d'une 
grande influence, qui a causé le phénomène de cette année. L'hypothèse 
de l'injection de vapeur d'eau du Hunga-Tonga et son "forçage radiatif" 
de 7,5 W/m² est plausible (*). Les causes complémentaires, aérosols, 
oscillation pacifique, cycle solaire... sont plausibles aussi.

Aux latitudes moyennes, une augmentation de 10% de la concentration de 
vapeur d'eau de l'atmosphère correspond à une augmentation moyenne de 
1,16 °C environ de la température.
326,56 W/m² -> 275.50 K
332,21 W/m² -> 276.66 K

(*) À comparer avec le "forçage radiatif" de 0,63 W/m² causé par 
l'élargissement de la bande de 660 cm⁻¹ quand la concentration en CO₂ de 
l'atmosphère passe de 325 à 420 ppm.