Path: ...!eternal-september.org!feeder3.eternal-september.org!news.eternal-september.org!.POSTED!not-for-mail From: beST Newsgroups: fr.misc.droit Subject: Re: La France 1er pays =?UTF-8?Q?d=E2=80=99Europe?= =?UTF-8?Q?_=C3=A0?= =?UTF-8?Q?_l=C3=A9galiser?= la surveillance =?UTF-8?Q?biom=C3=A9trique?= Date: Mon, 23 Dec 2024 10:03:43 -0000 (UTC) Organization: A noiseless patient Spider Lines: 31 Message-ID: References: <370f84a5437034d08334245f60eba4ee2579f92a@i2pn2.org> <3fc1cf48f97f47c2b86113d088c6f9532cd748af@i2pn2.org> MIME-Version: 1.0 Content-Type: text/plain; charset=UTF-8 Content-Transfer-Encoding: 8bit Injection-Date: Mon, 23 Dec 2024 11:03:43 +0100 (CET) Injection-Info: dont-email.me; posting-host="78f38c6a2642cb41163597d872ed0b31"; logging-data="1219675"; mail-complaints-to="abuse@eternal-september.org"; posting-account="U2FsdGVkX1/0CSpy3vFnhGDySebTiR5N7hxlC7L0gMI=" User-Agent: slrn/1.0.3 (Darwin) Cancel-Lock: sha1:KtpXC0ht4tuTE1JniM3+oeQ+Q48= Bytes: 3219 On 2024-12-23, Albert E. wrote: > + 1000 > soit une personne de 16 ans vivant dans un pays d'amérique du sud dans les > années 70 sous un régime de dictature, partie chez des amis français > effectuant leur vsna: le film projeté ce soir là était "Z" de Costa Gavras. > Le lendemain matin, appel de l'ambassade de France à tous les participants de > cette petite projection privée pour les informer qu'aucune rencontre entre > eux n'était autorisée durant UN mois. On ne plaisante pas avec les > interdictions dans ces pays-là, la prison est vite accueillante. > Pourtant rien à se reprocher, rien à cacher... Souvenir marquant pour ladite > personne. Les JO ont bien fait avancer la surveillance, comme en Chine... À qui le dis-tu, j'ai vécu en Chine avant, pendant et après les J.O. On est passé d'une société très peu policée de la débrouille à la surveillance de masse et au fichage généralisé. J'ai presque fui le pays en conseillant aux copains d'en faire autant pendant qu'il était encore temps, c'était en Décembre 2019, certains copains ont connu la période COVID à Shenzhen, entre ceux qui dormaient dans la rue en plein hiver parce qu'ils n'avaient pas le droit de rentrer chez eux et ceux qui crevaient de faim chez eux parce qu'ils n'avaient pas le droit de sortir. Depuis, je n'y ai jamais remis les pieds. On me dit qu'aujourd'hui, ça va mieux. Mais la plupart des magazins n'acceptent plus les espèces et à chaque fois que je vois un Chinois, il a le nez dans son téléphone portable en permanence. -- ST